vendredi, mai 22, 2015

“Jérusalem-Est en danger”… de “JUIFS”

“Jérusalem-Est en danger”… de “JUIFS”
(voir médiapart et ses invités)

Une appellation qui ne se retrouve pas dans l’Histoire et qui se réfère à la situation de Berlin-EST.
Alors que les Juifs ont tissé des liens naturels avec Jérusalem depuis l’an 70 de notre ère.
Jérusalem qui est l’ombilic du monde Juif… La Mémoire d’Israël… et la spécificité de la religion juive.
Des liens millénaires, la Jérusalem où David a érigé sa Capitale… où Salomon a édifié le Temple… En témoignent les Juifs, les Chrétiens, la Bible et l’Archéologie.
La Jérusalem confirmée tous les jours par les découvertes archéologiques.
Ce bordereau sous forme de Pétition qui réunit une bande de “pseudo intellectuels” dans lesquels se mêlent des antisionistes et quelques antisémites camouflés…
Des “EX” connus pour leur messianisme “antisioniste” sous couvert de plateformes prêtes à l’emploi et à l’usage du jour… Demandent à la France et à l’UE de prendre des mesures pour protéger le statut de la ville qu’ils veulent octroyer à  leurs “protégés” arbitrairement par anti-Israélisme au mépris de l’histoire du passé de la ville et du présent.

Plan de l’Organisation des Nations Unies pour Jérusalem (1947)
La résolution 181 de l’Assemblée générale, en date du 29 novembre 1947, concernant le plan de partage, envisageait la création d’un secteur de Jérusalem démilitarisé constituant une entité distincte sous l’égide du Conseil de tutelle des Nations Unies, qui devait élaborer un statut pour Jérusalem et désigner un gouverneur. Une assemblée devait être élue au suffrage universel par la population adulte, et ce statut devait rester en vigueur 10 ans, puis être dûment examiné par le Conseil de tutelle, la participation des citoyens étant assurée par une consultation par référendum.
Les hostilités qui ont suivi, ont empêché l’application de la résolution. la Jordanie occupe le secteur oriental, y compris la vieille ville et son enceinte(la Jérusalem du Mandat). C’est ainsi qu’est advenu le partage de facto de Jérusalem.
Cependant, par sa résolution 194 du 11 décembre 1948, l’Assemblée générale a réaffirmé le principe de l’internationalisation et celui des droits existants. Les États arabes, ne l’ont pas accepté.

La Jordanie, quant à elle, a décidé d’officialiser son contrôle de la vieille ville.
Elle édifie des barrières de barbelés, construit des murs de séparation, ferme des rues, détruit tous les édifices juifs et enceintes religieuses, détruit le cimetière du mont des oliviers et saccage les tombes vieilles de milliers d’années, interdit les juifs et leur accés au mur occidental sur le parvis duquel sont installés des réceptacles d’immondices, place des tireurs d’élites (snippers) qui interdisent aux religeux de jeter un regard sur le Mur, utilisent les marbres des tombes sur lesquels sont gravés les noms des morts pour paver les latrines des soldats jordaniens…
Au lendemain de la guerre de 1967, Israël libère Jérusalem-Est, et unifie la ville.
Attestée par l’arc de titus, la victoire de Rome sur les Juifs est symbolisée par l’enlèvement de la Ménora, le bordereau de cette plateforme d’anti religion juive veut expulser et interdire aux Juifs la seule ville qui compte pour eux.

Signataires de profession et invités de Médiapar qui veulent déposséder les Juifs de leur histoire la main sur le coeur, les uns pour leur paroisse les autre pour leurs électeurs.
La presque totalité des sénateurs de gauche et des verts, des Parlementaires socialistes
Pouria Amirshahi (député PS), Guy Aurenche (président du Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement - Terre Solidaire), Etienne Balibar (universitaire), 
Esther Benbassa (sénatrice), Rony Brauman (ancien président de Médecin sans Frontières, essayiste), Jean Brétéché (ancien ambassadeur de l'UE à Jérusalem), 

Monique Cerisier-Benguiga (sénatrice honoraire, vice-présidente de l'association pour Jérusalem), Jean-Paul Chagnollaud (universitaire), Emmanuelle Cosse (secrétaire nationale Europe Ecologie – Les Verts), Cécile Cukierman (sénatrice), sœur Béatrix Dagras (co-présidente du Groupe d’Amitié Islamo-Chrétienne), Jean Glavany (député), Menachem Klein (universitaire israélien), Pierre Laurent (sénateur), Patrick Le Hyaric (eurodéputé), Père Michel Lelong (ancien Professeur à l'Institut Catholique), Claude Léostic (présidente de la Plateforme des ONG françaises pour la Palestine), Monseigneur Marc Stenger (président de Pax Christi France), Pierre Tartakowski (président de Ligue des Droits de l’Homme et du citoyen), Dominique Vidal (journaliste), Michel Warschawski (directeur de l'Alternative Information Center).

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