Je recycle une lettre ouverte que j’ai envoyé à Catherine Nay dont les propos m’avaient très profondément marqué et démontré la promptitude avec laquelle on se dédouane…
Catherine Nay compare dans son édito…la photo du petit Mohamed Al Dura, à la photo de l’enfant juif en casquette, les mains en l’air, mis en joue par un SS allemand, et déclare :
« avec la charge symbolique de cette photo, la mort de Mohamed Al Dura annule et efface, celle de l’enfant juif».
Aujourd’hui on apprend officiellement que le reportage était bidon et que le morceau manquant était justement celui qui permettait de revoir l’enfant vivant… !
Action combien criminelle et qui a coûté la vie à plusieurs enfants juifs massacrés notamment ceux de Toulouse et de Daniel Pearl ainsi que le lynchage d’israéliens…
PEREZ Emile
Paris le 04-10-2002
Lettre ouverte à
Madame Catherine Nay
Spécialiste en « faux et usage de faux »…de l’Histoire
Israël : L’autre devoir de mémoire «la double méprise… »
Bien avant la période référence que vous avez cité, il se disait déjà de bien des hommes et des femmes, qu’il était vain de chercher à neutraliser le poison «que gagnerait-on ?, d’apprendre que leur haine est véritable.
Quand toutes les calomnies auront été réfutées, toutes les distorsions rectifiées, toutes les idées fausses rejetées, l’antipathie subsistera d’une manière irréfutable »
Vous êtes prompte dans vos choix à enfourcher le faux ou le douteux quand il s’agit du judéo-israélien.
Vous êtes une journaliste avisée, vous ne faites que citer ou vous référer, en toute légalité…. Toutefois le titre de votre édito n’est pas anodin et la continuité est frappante dans votre perception de l’histoire et du peuple juif.
Détruire les symboles, valider les mythes, deviendrait-il la spécialité de nos éditorialistes ?
A l’égal de monsieur Pappé et des autres, que vous citez, la France, Pays de la Liberté, de l’Egalité et de la Fraternité, serait en danger vue à travers le prisme de Mme Laguiller ou de monsieur Krivine.
Quand au reportage de monsieur Enderlin et de son complice le cameraman Palestinien l’avenir très proche je l’espère jugera si ce n’est la justice.
Commenter davantage votre éditorial serait une insulte à l’histoire, mais il faut quand même spécifier à vos auditeurs que bien avant la déclaration de la seconde guerre mondiale le très fanatique nationalisme arabe était affilié aux thèses nazies et son leader Amine El Husseini admirateur d’Hitler et de ses méthodes sévissait en Palestine, et l’on y fabriquait déjà les mythes.
Catherine Nay compare dans son édito…la photo du petit Mohamed Al Dura, à la photo de l’enfant juif en casquette, les mains en l’air, mis en joue par un SS allemand, et déclare :
« avec la charge symbolique de cette photo, la mort de Mohamed Al Dura annule et efface, celle de l’enfant juif».
Aujourd’hui on apprend officiellement que le reportage était bidon et que le morceau manquant était justement celui qui permettait de revoir l’enfant vivant… !
Action combien criminelle et qui a coûté la vie à plusieurs enfants juifs massacrés notamment ceux de Toulouse et de Daniel Pearl ainsi que le lynchage d’israéliens…
PEREZ Emile
Paris le 04-10-2002
Lettre ouverte à
Madame Catherine Nay
Spécialiste en « faux et usage de faux »…de l’Histoire
Israël : L’autre devoir de mémoire «la double méprise… »
Bien avant la période référence que vous avez cité, il se disait déjà de bien des hommes et des femmes, qu’il était vain de chercher à neutraliser le poison «que gagnerait-on ?, d’apprendre que leur haine est véritable.
Quand toutes les calomnies auront été réfutées, toutes les distorsions rectifiées, toutes les idées fausses rejetées, l’antipathie subsistera d’une manière irréfutable »
Vous êtes prompte dans vos choix à enfourcher le faux ou le douteux quand il s’agit du judéo-israélien.
Vous êtes une journaliste avisée, vous ne faites que citer ou vous référer, en toute légalité…. Toutefois le titre de votre édito n’est pas anodin et la continuité est frappante dans votre perception de l’histoire et du peuple juif.
Détruire les symboles, valider les mythes, deviendrait-il la spécialité de nos éditorialistes ?
A l’égal de monsieur Pappé et des autres, que vous citez, la France, Pays de la Liberté, de l’Egalité et de la Fraternité, serait en danger vue à travers le prisme de Mme Laguiller ou de monsieur Krivine.
Quand au reportage de monsieur Enderlin et de son complice le cameraman Palestinien l’avenir très proche je l’espère jugera si ce n’est la justice.
Commenter davantage votre éditorial serait une insulte à l’histoire, mais il faut quand même spécifier à vos auditeurs que bien avant la déclaration de la seconde guerre mondiale le très fanatique nationalisme arabe était affilié aux thèses nazies et son leader Amine El Husseini admirateur d’Hitler et de ses méthodes sévissait en Palestine, et l’on y fabriquait déjà les mythes.
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