L’exposition du Jeu de Paume …La Mort de l’ART…Ou la pornographie intellectuelle
Marta Gili : spécialiste en photographie historique… «Je refuserai toujours la censure» au Jeu de Paume
une terrible confusion entre la propagande à la gloire du terrorisme et l’art photographique, confusion savamment entretenue par des intellectuels de gauche spécialistes du rapport à l'image à la recherche de reconnaissance et assoiffés d’antisionisme.
Cela fait parti de « l’essentiel de l’actu cul turelle »… Démarche philosophique à la Genet et à la Céline…
Dans cette exposition photo et pour la suite du « discours culturel »… se rapportant à la Palestinographie… ainsi que son origine… L’importance du cadre… Au sens propre et figuré.
Avec la disparition de la hiérarchie historique… son inscription dans le cosmos et son univers indéfini cette expo se donne une illusion baptisée …réél…
Dans cette abondante exploration de la « culture du Palestinien » une concentration contemplative amplement surdocumentée mène, de « l’Antiquité à l’extrême contemporain »,
Transportez-vous dans le temps du photographe elle vous le suggère… Sa vision… cliché intellectuel… fruit de son univers transformé dans le temps en paradigme…
Contenu irrationnel… Ce n’est pas seulement un procédé, c’est aussi une représentation, un portrait, une identité.
Cette exposition,
À travers cette surréaliste transformatrice … devenant œuvre d’art … à la Gustave Marissiaux cherchant l’émotion… ici l’émotion est anti-juive ! Regardez, il va peut-être se passer quelque chose, demandez donc à Enderlin il s’y connaît en culture palestinienne !
L’identité, ce que les regardants définiront de vous… c’est dans la partie de l’exposition dévolue aux enfants palestiniens, assemblage… dévoré par le …système raciste israélien… C’est dans ce but, qu’a été élaborée cette exposition de référence. Pour remplir convenablement sa fonction, savoir-faire et attitudes de la communication par delà les frontières linguistiques et culturelles… Mais, au-delà de cet aspect …historique… l’exposition aborde la question de l’identité, schizophrènique, du Palestinien bâtissant ainsi un rituel constructif et profitant de l’espace protecteur, devient un élément de définition de l’identité plus efficace que le langage.
Ce qui restera, c’est le périphérique décolleté, une collection de cadres évidés, non identifiables mais néanmoins éloquents de cette accumulation naît d’une femme en creux, porteur de cet abus de haine.
La « limite » de cet art visuel et ses interdits… c’est le « bon sens »… Se pose alors le problème de l’identité de cet art dans la mesure où tout ce qui se passe en « Palestine » se situe toujours dans un cadre donné, cela signifie que pour un honnête regardant en adoptant une certaine attitude, donc à partir d’un cadre précis toute pensée prend place, même si l’on ne s’en rend pas compte tant l’image demeure le lieu des paradoxes et des polémiques, elle suscite une pensée vivante.
Exposition et sa Chronique presque imaginaire d’un critique …d’Art imaginé habillé de philosophie atavique…
… L’Art du cadre Composé est « Le cadre invisible » qui nous entraîne dans un domaine dont le cadre exclut toute la réalité du monde environnant….
Enlever le cadre, consiste à symboliquement enlever toutes les limites de la réalité… de ce monde
Imaginaire et élaborer un monde de l’art d’où tout cadre d’appartenance a disparu… amputé de l’histoire et de la réalité on arrive ainsi à « l’art du simulacre » où « l’image doit être racontée …une histoire de l’interprétation. Une barbarie intellectuelle… !
Comme dit Ahmadinejad … « le nom d’Ahmadinejad est connu dans le monde entier comme celui qui à validé le doute de la réalité de la Shoah et cette réussite est l’œuvre de ma vie… »
Itinéraire étrange de l’antisémitisme primitif à la shoah, et de la shoah à l’antisionisme qui nous fait vivre aujourd’hui la banalisation de cette haine construite… philosophiquement admise !
Triton
Marta Gili : spécialiste en photographie historique… «Je refuserai toujours la censure» au Jeu de Paume
une terrible confusion entre la propagande à la gloire du terrorisme et l’art photographique, confusion savamment entretenue par des intellectuels de gauche spécialistes du rapport à l'image à la recherche de reconnaissance et assoiffés d’antisionisme.
Cela fait parti de « l’essentiel de l’actu cul turelle »… Démarche philosophique à la Genet et à la Céline…
Dans cette exposition photo et pour la suite du « discours culturel »… se rapportant à la Palestinographie… ainsi que son origine… L’importance du cadre… Au sens propre et figuré.
Avec la disparition de la hiérarchie historique… son inscription dans le cosmos et son univers indéfini cette expo se donne une illusion baptisée …réél…
Dans cette abondante exploration de la « culture du Palestinien » une concentration contemplative amplement surdocumentée mène, de « l’Antiquité à l’extrême contemporain »,
Transportez-vous dans le temps du photographe elle vous le suggère… Sa vision… cliché intellectuel… fruit de son univers transformé dans le temps en paradigme…
Contenu irrationnel… Ce n’est pas seulement un procédé, c’est aussi une représentation, un portrait, une identité.
Cette exposition,
À travers cette surréaliste transformatrice … devenant œuvre d’art … à la Gustave Marissiaux cherchant l’émotion… ici l’émotion est anti-juive ! Regardez, il va peut-être se passer quelque chose, demandez donc à Enderlin il s’y connaît en culture palestinienne !
L’identité, ce que les regardants définiront de vous… c’est dans la partie de l’exposition dévolue aux enfants palestiniens, assemblage… dévoré par le …système raciste israélien… C’est dans ce but, qu’a été élaborée cette exposition de référence. Pour remplir convenablement sa fonction, savoir-faire et attitudes de la communication par delà les frontières linguistiques et culturelles… Mais, au-delà de cet aspect …historique… l’exposition aborde la question de l’identité, schizophrènique, du Palestinien bâtissant ainsi un rituel constructif et profitant de l’espace protecteur, devient un élément de définition de l’identité plus efficace que le langage.
Ce qui restera, c’est le périphérique décolleté, une collection de cadres évidés, non identifiables mais néanmoins éloquents de cette accumulation naît d’une femme en creux, porteur de cet abus de haine.
La « limite » de cet art visuel et ses interdits… c’est le « bon sens »… Se pose alors le problème de l’identité de cet art dans la mesure où tout ce qui se passe en « Palestine » se situe toujours dans un cadre donné, cela signifie que pour un honnête regardant en adoptant une certaine attitude, donc à partir d’un cadre précis toute pensée prend place, même si l’on ne s’en rend pas compte tant l’image demeure le lieu des paradoxes et des polémiques, elle suscite une pensée vivante.
Exposition et sa Chronique presque imaginaire d’un critique …d’Art imaginé habillé de philosophie atavique…
… L’Art du cadre Composé est « Le cadre invisible » qui nous entraîne dans un domaine dont le cadre exclut toute la réalité du monde environnant….
Enlever le cadre, consiste à symboliquement enlever toutes les limites de la réalité… de ce monde
Imaginaire et élaborer un monde de l’art d’où tout cadre d’appartenance a disparu… amputé de l’histoire et de la réalité on arrive ainsi à « l’art du simulacre » où « l’image doit être racontée …une histoire de l’interprétation. Une barbarie intellectuelle… !
Comme dit Ahmadinejad … « le nom d’Ahmadinejad est connu dans le monde entier comme celui qui à validé le doute de la réalité de la Shoah et cette réussite est l’œuvre de ma vie… »
Itinéraire étrange de l’antisémitisme primitif à la shoah, et de la shoah à l’antisionisme qui nous fait vivre aujourd’hui la banalisation de cette haine construite… philosophiquement admise !
Triton
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire