mercredi, mars 09, 2016

Pour “information” à l’AFP et à Monsieur Joffrin pour l’Histoire


“Jérusalem-Est en danger”… de “JUIFS”
(voir médiapart et ses invités)
“Antisionisme et antisémitisme: 
L’erreur de Valls On prend des risques, en politique, à s’écarter du texte préparé. A moins qu’on ne l’ait fait en conscience… Manuel Valls, en tout cas, a eu tort de déclarer que «antisionisme» et «antisémitisme» étaient «synonymes», formule qui ne figure pas dans le texte initial de son intervention.” 
(voir Libération 8 mars 2016)
“Biden arrive en Israël, au plus près d’un nouvel accès de violences”
(pour “information” à l’AFP et à Monsieur Joffrin pour l’Histoire)
Les Israéliens s'inquiètent cependant que l'administration Obama, frustrée par l'enlisement du conflit israélo-palestinien, ne rompe le soutien historique apporté à Israël au sein des instances internationales, par exemple en soutenant une résolution de l'ONU appelant Israéliens et Palestiniens au compromis, comme le Wall Street Journal en évoque la possibilité de la scission de Jérusalem.Une appellation qui ne se retrouve pas dans l’Histoire et qui se réfère à la situation de Berlin-EST.
Alors que les Juifs ont tissé des liens naturels avec Jérusalem depuis l’an 70 de notre ère.
Jérusalem qui est l’ombilic du monde Juif… La Mémoire d’Israël… et la spécificité de la religion juive.
Des liens millénaires, la Jérusalem où David a érigé sa Capitale… où Salomon a édifié le Temple… En témoignent les Juifs, les Chrétiens, la Bible et l’Archéologie.
La Jérusalem confirmée tous les jours par les découvertes archéologiques.
Ce bordereau sous forme de Pétition qui réunit une bande de “pseudo intellectuels” dans lesquels se mêlent des antisionistes et quelques antisémites camouflés…
Des “EX” connus pour leur messianisme “antisioniste” sous couvert de plateformes prêtes à l’emploi et à l’usage du jour… Demandent à la France et à l’UE de prendre des mesures pour protéger le statut de la ville qu’ils veulent octroyer à  leurs “protégés” arbitrairement par anti-Israélisme au mépris de l’histoire du passé de la ville et du présent.

Plan de l’Organisation des Nations Unies pour Jérusalem (1947)
La résolution 181 de l’Assemblée générale, en date du 29 novembre 1947, concernant le plan de partage, envisageait la création d’un secteur de Jérusalem démilitarisé constituant une entité distincte sous l’égide du Conseil de tutelle des Nations Unies, qui devait élaborer un statut pour Jérusalem et désigner un gouverneur. Une assemblée devait être élue au suffrage universel par la population adulte, et ce statut devait rester en vigueur 10 ans, puis être dûment examiné par le Conseil de tutelle, la participation des citoyens étant assurée par une consultation par référendum.
Les hostilités qui ont suivi, ont empêché l’application de la résolution. la Jordanie occupe le secteur oriental, y compris la vieille ville et son enceinte(la Jérusalem du Mandat). C’est ainsi qu’est advenu le partage de facto de Jérusalem.
Cependant, par sa résolution 194 du 11 décembre 1948, l’Assemblée générale a réaffirmé le principe de l’internationalisation et celui des droits existants. Les États arabes, ne l’ont pas accepté.

La Jordanie, quant à elle, a décidé d’officialiser son contrôle de la vieille ville.
Elle édifie des barrières de barbelés, construit des murs de séparation, ferme des rues, détruit tous les édifices juifs et enceintes religieuses, détruit le cimetière du mont des oliviers et saccage les tombes vieilles de milliers d’années, interdit les juifs et leur accés au mur occidental sur le parvis duquel sont installés des réceptacles d’immondices, place des tireurs d’élites (snippers) qui interdisent aux religeux de jeter un regard sur le Mur, utilisent les marbres des tombes sur lesquels sont gravés les noms des morts pour paver les latrines des soldats jordaniens…
Au lendemain de la guerre de 1967, Israël libère Jérusalem-Est, et unifie la ville.
Attestée par l’arc de titus, la victoire de Rome sur les Juifs est symbolisée par l’enlèvement de la Ménora, le bordereau de cette plateforme d’anti religion juive veut expulser et interdire aux Juifs la seule ville qui compte pour eux.

Signataires de profession et invités de Médiapart qui veulent déposséder les Juifs de leur histoire la main sur le coeur, les uns pour leur paroisse les autre pour leurs électeurs.
La presque totalité des sénateurs de gauche et des verts, des Parlementaires socialistes
Pouria Amirshahi (député PS), Guy Aurenche (président du Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement - Terre Solidaire), Etienne Balibar (universitaire), 
Esther Benbassa (sénatrice), Rony Brauman (ancien président de Médecin sans Frontières, essayiste), Jean Brétéché (ancien ambassadeur de l'UE à Jérusalem), 
Monique Cerisier-Benguiga (sénatrice honoraire, vice-présidente de l'association pourJérusalem), Jean-Paul Chagnollaud (universitaire), Emmanuelle Cosse (secrétaire nationale Europe Ecologie – Les Verts), Cécile Cukierman (sénatrice), sœur Béatrix Dagras (co-présidente du Groupe d’Amitié Islamo-Chrétienne), Jean Glavany (député), Menachem Klein (universitaire israélien), Pierre Laurent (sénateur), Patrick Le Hyaric (eurodéputé), Père Michel Lelong (ancien Professeur à l'Institut Catholique), Claude Léostic (présidente de la Plateforme des ONG françaises pour la Palestine), Monseigneur Marc Stenger (président de Pax Christi France), Pierre Tartakowski (président de Ligue des Droits de l’Homme et du citoyen), Dominique Vidal (journaliste), Michel Warschawski (directeur de l'Alternative Information Center).

La Gauche se pense le « Centre du droit »
C’est une véritable recherche des prospects ciblés pour alimenter la force de conquête du
« Pouvoir »… Il faut vendre sa salade mixte…
Celle de la présence de la force du « Post sionisme » soutenue par l’internationale des
« Anti-sionistes »…
La gauche israélienne sera redevable de son « totalitarisme de tolérances qualifiées »
soutenue par la gauche européenne… Celle du Boycott… Celle des manifestations antisémites…
Celle des écologistes, celle de la Francophonie !
La Gauche et ses 800 mercenaires dits « Intellectuels » promoteurs du vote des Parlements Européens en faveur de la reconnaissance unilatérale d’un Etat Palestinien par leurs gouvernements respectifs et par l’ONU  en complet désaccord avec le gouvernement d’Israël.
Ce serait pourtant une erreur grossière que d’estimer l’importance de ce terrorisme à
travers le seul prisme de ses conséquences directes.
Les parrainages étatiques de ces votes sont politiques et c’est donc en termes politiques que
doivent être évalués les dangers qu’ils représentent.
Les groupes des boycott, les groupes post-sionistes, les groupes antisionistes, les groupes
antisémites se réclament de leur propre idéologie et agissent selon leur propre stratégie et
leur propre tactique, nous ne manquerons pas de les voir traduits bientôt sur les terrains
nationaux à travers les communautés juives.
De toujours l’Europe a manifesté un Intérêt politique et diplomatique pour la… « Palestine »
en général, un concept séparé pour la …« Terre Sainte »… Un Etat arabe et un Etat juif, le
partage n’était considéré par aucune des parties comme définitif et irréversible.
Les Sionistes avaient accepté le partage à contre-coeur les Arabes avaient refusé.
Les commissions ont laissé la place à l’ONU après la déclaration de l’Etat juif.
Dans le contexte géopolitique mondial actuel, l’Etat Juif se trouve balloté entre les intérêts
d’un monde arabe en pleine ébullition mais uni religieusement, puissant diplomatiquement au
sein de l’ONU et qui exerce de fortes pressions sur les Nations qui détiennent un droit de
véto en rapport avec les soutiens qu’ils ont à l’Assemblée Générale.
Cependant la nouvelle version qui se dispute aujourd’hui n’est pas de partage mais d’abandon 
de territoires ou d’échanges.
Dans la perspective du réglement de paix, la bataille qui se livre aujourd’hui est une
véritable lutte contre le terrorisme intellectuel menée par la Gauche consciente de ses alliances contre nature.
Les Palestiniens demandent
1 - La «détermination des frontières d'Israël» sur la ligne verte "frontières de 1967" qui
n’est autre qu’une ligne de cessez le feu, assortie de différents accords bilatéraux
avec les divers belligérants hormis les Palestiniens qui officiellement ne possèdent pas
d’armées et en somme ne sont que des «civils».
Le refus des Palestiniens d’une paix négociée qui signifierait la fin du conflit et l’acceptation
de l’existence d’Israël.
Les leaders palestiniens ne cachent pas leur volonté de poursuivre le conflit à partir de
cette position.
2 - Le partage de Jérusalem.
Les Palestiniens exigent la souveraineté de la partie de la ville contrôlée par les
Jordaniens jusqu'en 1967, "Jérusalem-Est", qui englobe les quartiers juifs
Un partage territorial impensable et inacceptable pour les Juifs du monde entier qui gardent
le souvenir des destructions de 1947 à 1967 de la totalité du quartier Juif et de ses
édifices religieux, les destructions de pratiquement la totalité du cimetière du Mont des
oliviers et l’interdiction de l'accession faites aux Juifs au lieu le plus saint du Judaïsme.
En 1928, les Musulmans rompirent le status quo le jour de Yom kippour et il fut interdit aux
Juifs de venir avec des chaises pour la prière… il fallait rester debout…
3 - Le "droit au retour".
Les Réfugiés partis en deux vagues soit un maximum 1 million aidés et gérés depuis 1949 par l'UNRWA.
Aujourd'hui environ 4,5 millions (1,8 million en Jordanie, près d'1.300.000 dans la bande
de Gaza, 690 000 en Cisjordanie), les Palestiniens réclament droit de revenir dans leurs
anciennes demeures.
En un mot l'abrogation des accords d’Oslo.
Extraits d’une étude réalisée en association avec des juristes, des diplomates et des experts
internationaux. L’ouvrage, édité par l’ambassadeur et juriste Alan Baker, est publié en
anglais par le JCPA-CAPE.
...Dans le cadre de la campagne anti-israélienne, on présente souvent la « ligne verte»
comme si son statut était semblable à une frontière juridiquement contraignante. Rappelons
qu’en signant un accord de paix, Israël et la Jordanie ont reconnu mutuellement l’abrogation
de la convention d’armistice et sa ligne de démarcation. La validité d’une ligne d’armistice
expire et avec elle l’armistice. Par conséquent et officiellement, il ne peut donc y avoir de
validité juridique quelconque sur la Ligne verte.
Sous toutes les formes et normes juridiques acceptées, il est clair aussi que Gaza n’est plus
sous occupation israélienne. Le Droit international exige que dans toute zone considérée sous
occupation, le territoire devrait être « placé de facto sous l’autorité de l’armée ennemie ».
Une fois encore, il semble que la définition « occupation » s’applique seulement pour Israël.
Tout système juridique se base sur un principe fondamental selon lequel le Droit s’applique à
tout le monde et sans exception. C’est en effet sa raison d’être et à l’évidence, les
détracteurs d’Israël sapent systématiquement le Droit international. Les tentatives de
désigner Israël comme « Etat violant les règles du Droit international » est caractéristique
de la “guerre juridique” contre l’Etat juif...
Il est à noter que malgré l’acceptation de la résolution 242 par Israël et par certains pays
arabes, aucune des deux parties ne la met réellement en oeuvre, chacun restant sur sa
position.
Israël réclame ainsi des négociations directes avec les pays arabes et refuse de se replier
sur les frontières d’avant la guerre des Six Jours. Pour justifier son action, le gouvernement
s’appuie sur la version anglaise du texte de la résolution (le texte a été rédigé en anglais et
en français, les deux langues officielles de l’ONU en 1967) qui parle d’un retrait israélien
« de territoires occupés » (« from territories occupied in the recent conflict »), ne
précisant donc aucunement de quels territoires il s’agit (« from ‘the’ territories » aurait
précisé l’origine des territoires), reniant ainsi la version française qui est nettement plus
contraignante et qui parle « des territoires occupés lors du récent conflit ».
Les accords d’Oslo 1993
Les accords d’Oslo furent des accords bilatéraux signés à Washington
L’accord signé en 1993, était intitulé « Déclaration de principes sur des arrangements
intérimaires d’autonomie ». Sa principale préoccupation était le retrait israélien des
territoires de Judée, de Samarie et de la bande de Gaza afin de permettre l’établissement
d’une autorité palestinienne avec une autonomie gouvernementale sur une période intérimaire
jusqu’à l’établissement d’arrangements permanents.
Les Arabes exigent que le retrait s’applique à l’ensemble des territoires occupés tandis qu’Israël exige que des « frontières reconnues » soit mentionnées sans pour autant qu’elles soient réellement définies. Les Etats-Unis ont appuyés jusqu’à ce jour les revendications israéliennes .
La signature de la déclaration eut des conséquences spectaculaires sur la politique d’Israël
envers l’OLP. Israël reconnut l’OLP comme représentant du peuple palestinien et annonça son
intention d’entamer des négociations, dans le cadre d’un processus de paix global au Moyen-
Orient. Arafat, au nom de l’OLP, reconnut le droit d’Israël à vivre en paix et en sécurité.
Arafat s’engagea dans le processus de paix et oeuvra pour une solution pacifique du conflit.
Il fit la promesse de s’abstenir de faire usage d’actes de terrorisme et de violence, il
reconnut les résolutions 242 et 338 du Conseil de sécurité des Nations Unies et promit de
faire approuver les changements nécessaires dans la charte palestinienne par le Conseil
national palestinien – concernant principalement les chapitres en contradiction avec la
déclaration ou la désapprobation du droit d’Israël à l’indépendance.
A la suite de la guerre des Six jours, les Etats-Unis considèrent qu’Israël a attaqué les
Etats arabes afin d’assurer sa défense suite à de multiples agressions ; ils refusent donc
d’exercer une pression contre l’Etat hébreu, ils s’accordent sur la nécessité d’un retrait mais

se gardent de spécifier les territoires qui doivent évacués.





























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