Lettre ouverte à Pierre Veilletet (président de Reporters sans frontières).

Lettre ouverte à Pierre Veilletet (président de Reporters sans frontières).
Tsahal traite les médias en ennemis, par Pierre Veilletet et Robert Ménard Le Monde
04.09.06

Monsieur Veilletet vous vous parez d’une vertu qui ne sied guère aux Médias d’aujourd’hui les journalistes et leurs patrons ont oublié d’être propres…

« La liberté de la presse que chacun invoque du haut des tribunes, trémolos dans la voix, n'est pas seulement valable pour soi-même et ses amis ».

La répétition rapide d'un ou de plusieurs événements, faux et montages, de manière à provoquer la compassion ou un sentiment continu sur son lecteur en affectant un pathétique outré provoque et prolonge la vibration et crée le trémolo… humanitaire.
Les médias ont perdu toute leur crédibilité en créant l’information sur la base de la propagande d’un des belligérants les plus persuasifs.

« Ce feuilleton rageusement antisémite diffusé par Al-Manar - nous indigne, et c'est un faible mot. Une indignation qui ne peut cependant justifier qu'on transgresse les règles établies par la communauté des nations ».
Robert Ménard a déclaré Nuremberg discutable, ne veut pas de Frontières au révisionnisme.

Bien avant les événements que vous avez cités, il se disait déjà de bien des hommes et des femmes, qu’il était vain de chercher à neutraliser le poison « qui gagnerait-on ? ... Quand toutes les calomnies auront été réfutées, toutes les distorsions rectifiées, toutes les idées fausses rejetées, l’antipathie subsistera d’une manière irréfutable »

« Sans se gargariser de grandes phrases, il faut rappeler que la fin ne justifie jamais tous les moyens. Sauf à se déconsidérer et, du même coup, à disqualifier les valeurs qu'on est censé défendre. »

J’essaye tout simplement de mettre de l’ordre dans vos propres contradictions et celles de Monsieur Ménard… en reproduisant vos propres phrases dans un ordre différent du votre, je ne trouve pas cela contradictoire mais plutôt éclairant…!

Comprendre ou appréhender les médias dans les événements du Moyen Orient est un problème d’opinions mais n’est plus un problème d’éthique journalistique… cela tient du mythe… et du soutien inconditionnel… !
Triton