La Gauche se pense le « Centre d’Israël »
C’est une véritable recherche des prospects ciblés pour alimenter la force de conquête du
« Pouvoir »... Il faut vendre sa salade mixte...
Celle de la présence de la force du « Post sionisme » soutenue par l’internationale des
« Anti-sionistes »...
La gauche israélienne sera redevable de son « totalitarisme de tolérances qualifiées » soutenue par la gauche européenne... Celle du Boycott... Celle des manifestations antisémites... Celle des écologistes, celle de la Francophonie !
La Gauche et ses 800 mercenaires dits « Intellectuels » promoteurs du vote des Parlements Européens en faveur de la reconnaissance unilatérale d’un Etat Palestinien par leurs gouvernements respectifs et par l’ONU en complet désaccord avec le gouvernement d’Israël. Ce serait pourtant une erreur grossière que d’estimer l’importance de ce terrorisme à travers le seul prisme de ses conséquences directes.
Les parrainages étatiques de ces votes sont politiques et c’est donc en termes politiques que doivent être évalués les dangers qu’ils représentent.
Les groupes des boycott, les groupes post-sionistes, les groupes antisionistes, les groupes antisémites se réclament de leur propre idéologie et agissent selon leur propre stratégie et leur propre tactique, nous ne manquerons par de les voir traduits bientôt sur les terrains nationaux à travers les communautés juives.
De toujours l’Europe a manifesté un Intérêt politique et diplomatique pour la... « Palestine » en général, un concept séparé pour la ...« Terre Sainte »... Un Etat arabe et un Etat juif, le partage n’était considéré par aucune des parties comme définitif et irréversible.
Les Sionistes avaient accepté le partage à contre-coeur les Arabes avaient refusé.
Les commissions ont laissé la place à l’ONU après la déclaration de l’Etat juif.
Dans le contexte géopolitique mondial actuel, l’Etat Juif se trouve balloté entre les intérêts d’un monde arabe en pleine ébullition mais uni religieusement, puissant diplomatiquement au sein de l’ONU et qui exerce de fortes pressions sur les Nations qui détiennent un droit de véto en rapport avec les soutiens qu’ils ont à l’Assemblée Générale.
Cependant la nouvelle version qui se dispute aujourd’hui n’est pas de partage mais d’abandon de territoires ou d’échanges.
Dans la perspective du réglement de paix, la bataille qui se livre aujourd’hui est une véritable lutte contre le terrorisme intellectuel menée contre les tenants de la légitimité du pouvoir en place.
Appelez-moi maintenant le « Centre »... Nous dit la Gauche consciente de ces et de ses alliances contre nature.
Les Palestiniens demandent
1 - La «détermination des frontières d'Israël» sur la ligne verte "frontières de 1967" qui
n’est autre qu’une ligne de cessez le feu, assortie de différents accords bilatéraux avec les divers belligérants hormis les Palestiniens qui officiellement ne possèdent pas d’armées et en somme ne sont que des «civils».
Le refus des Palestiniens d’une paix négociée qui signifierait la fin du conflit et l’acceptation de l’existence d’Israël.
Les leaders palestiniens ne cachent pas leur volonté de poursuivre le conflit à partir de cette position.
Celle de la présence de la force du « Post sionisme » soutenue par l’internationale des
« Anti-sionistes »...
La gauche israélienne sera redevable de son « totalitarisme de tolérances qualifiées » soutenue par la gauche européenne... Celle du Boycott... Celle des manifestations antisémites... Celle des écologistes, celle de la Francophonie !
La Gauche et ses 800 mercenaires dits « Intellectuels » promoteurs du vote des Parlements Européens en faveur de la reconnaissance unilatérale d’un Etat Palestinien par leurs gouvernements respectifs et par l’ONU en complet désaccord avec le gouvernement d’Israël. Ce serait pourtant une erreur grossière que d’estimer l’importance de ce terrorisme à travers le seul prisme de ses conséquences directes.
Les parrainages étatiques de ces votes sont politiques et c’est donc en termes politiques que doivent être évalués les dangers qu’ils représentent.
Les groupes des boycott, les groupes post-sionistes, les groupes antisionistes, les groupes antisémites se réclament de leur propre idéologie et agissent selon leur propre stratégie et leur propre tactique, nous ne manquerons par de les voir traduits bientôt sur les terrains nationaux à travers les communautés juives.
De toujours l’Europe a manifesté un Intérêt politique et diplomatique pour la... « Palestine » en général, un concept séparé pour la ...« Terre Sainte »... Un Etat arabe et un Etat juif, le partage n’était considéré par aucune des parties comme définitif et irréversible.
Les Sionistes avaient accepté le partage à contre-coeur les Arabes avaient refusé.
Les commissions ont laissé la place à l’ONU après la déclaration de l’Etat juif.
Dans le contexte géopolitique mondial actuel, l’Etat Juif se trouve balloté entre les intérêts d’un monde arabe en pleine ébullition mais uni religieusement, puissant diplomatiquement au sein de l’ONU et qui exerce de fortes pressions sur les Nations qui détiennent un droit de véto en rapport avec les soutiens qu’ils ont à l’Assemblée Générale.
Cependant la nouvelle version qui se dispute aujourd’hui n’est pas de partage mais d’abandon de territoires ou d’échanges.
Dans la perspective du réglement de paix, la bataille qui se livre aujourd’hui est une véritable lutte contre le terrorisme intellectuel menée contre les tenants de la légitimité du pouvoir en place.
Appelez-moi maintenant le « Centre »... Nous dit la Gauche consciente de ces et de ses alliances contre nature.
Les Palestiniens demandent
1 - La «détermination des frontières d'Israël» sur la ligne verte "frontières de 1967" qui
n’est autre qu’une ligne de cessez le feu, assortie de différents accords bilatéraux avec les divers belligérants hormis les Palestiniens qui officiellement ne possèdent pas d’armées et en somme ne sont que des «civils».
Le refus des Palestiniens d’une paix négociée qui signifierait la fin du conflit et l’acceptation de l’existence d’Israël.
Les leaders palestiniens ne cachent pas leur volonté de poursuivre le conflit à partir de cette position.
2 - Le partage de Jérusalem.
Les Palestiniens exigent la souveraineté de la partie de la ville contrôlée par les
Jordaniens jusqu'en 1967, "Jérusalem-Est", qui englobe les quartiers juifs
Un partage territorial impensable et inacceptable pour les Juifs du monde entier qui gardent le souvenir des destructions de 1947 à 1967 de la totalité du quartier Juif et de ses édifices religieux, les destructions de pratiquement la totalité du cimetière du Mont des oliviers et l’interdiction de l'accession faites aux Juifs au lieu le plus saint du Judaïsme.
En 1928, les Musulmans rompirent le status quo le jour de Yom kippour et il fut interdit aux Juifs de venir avec des chaises pour la prière... il fallait rester debout...
Les Palestiniens exigent la souveraineté de la partie de la ville contrôlée par les
Jordaniens jusqu'en 1967, "Jérusalem-Est", qui englobe les quartiers juifs
Un partage territorial impensable et inacceptable pour les Juifs du monde entier qui gardent le souvenir des destructions de 1947 à 1967 de la totalité du quartier Juif et de ses édifices religieux, les destructions de pratiquement la totalité du cimetière du Mont des oliviers et l’interdiction de l'accession faites aux Juifs au lieu le plus saint du Judaïsme.
En 1928, les Musulmans rompirent le status quo le jour de Yom kippour et il fut interdit aux Juifs de venir avec des chaises pour la prière... il fallait rester debout...
3 - Le "droit au retour".
Les Réfugiés partis en deux vagues soit un maximum 1 million aidés et gérés depuis 1949 par l'UNRWA.
Aujourd'hui environ 4,5 millions (1, 8million en Jordanie, près d'1. 300.000 dans la bande de Gaza, 690 000 en Cisjordanie), les Palestiniens réclament droit de revenir dans leurs anciennes demeures
En un mot l'abrogation des accords d’Oslo.
Extraits d’une étude réalisée en association avec des juristes, des diplomates et des experts internationaux. L’ouvrage, édité par l’ambassadeur et juriste Alan Baker, est publié en anglais par le JCPA-CAPE.
...Dans le cadre de la campagne anti-israélienne, on présente souvent la « ligne verte» comme si son statut était semblable à une frontière juridiquement contraignante. Rappelons qu’en signant un accord de paix, Israël et la Jordanie ont reconnu mutuellement l’abrogation de la convention d’armistice et sa ligne de démarcation. La validité d’une ligne d’armistice expire et avec elle l’armistice. Par conséquent et officiellement, il ne peut donc y avoir de validité juridique quelconque sur la Ligne verte.
Sous toutes les formes et normes juridiques acceptées, il est clair aussi que Gaza n’est plus sous occupation israélienne. Le Droit international exige que dans toute zone considérée sous occupation, le territoire devrait être « placé de facto sous l’autorité de l’armée ennemie ». Une fois encore, il semble que la définition « occupation » s’applique seulement pour Israël. Tout système juridique se base sur un principe fondamental selon lequel le Droit s’applique à tout le monde et sans exception. C’est en effet sa raison d’être et à l’évidence, les détracteurs d’Israël sapent systématiquement le Droit international. Les tentatives de désigner Israël comme « Etat violant les règles du Droit international » est caractéristique de la “guerre juridique” contre l’Etat juif...
Il est à noter que malgré l’acceptation de la résolution 242 par Israël et par certains pays arabes, aucune des deux parties ne la met réellement en œuvre, chacun restant sur sa position.
Israël réclame ainsi des négociations directes avec les pays arabes et refuse de se replier sur les frontières d’avant la guerre des Six Jours. Pour justifier son action, le gouvernement s’appuie sur la version anglaise du texte de la résolution (le texte a été rédigé en anglais et en français, les deux langues officielles de l’ONU en 1967) qui parle d’un retrait israélien
« de territoires occupés » (« from territories occupied in the recent conflict »), ne précisant donc aucunement de quels territoires il s’agit (« from ‘the’ territories » aurait précisé l’origine des territoires), reniant ainsi la version française qui est nettement plus contraignante et qui parle « des territoires occupés lors du récent conflit ».
Les accords d’Oslo 1993
Les accords d’Oslo furent des accords bilatéraux signés à Washington
L’accord signé en 1993, était intitulé « Déclaration de principes sur des arrangements intérimaires d’autonomie ». Sa principale préoccupation était le retrait israélien des territoires de Judée, de Samarie et de la bande de Gaza afin de permettre l’établissement
Les Réfugiés partis en deux vagues soit un maximum 1 million aidés et gérés depuis 1949 par l'UNRWA.
Aujourd'hui environ 4,5 millions (1, 8million en Jordanie, près d'1. 300.000 dans la bande de Gaza, 690 000 en Cisjordanie), les Palestiniens réclament droit de revenir dans leurs anciennes demeures
En un mot l'abrogation des accords d’Oslo.
Extraits d’une étude réalisée en association avec des juristes, des diplomates et des experts internationaux. L’ouvrage, édité par l’ambassadeur et juriste Alan Baker, est publié en anglais par le JCPA-CAPE.
...Dans le cadre de la campagne anti-israélienne, on présente souvent la « ligne verte» comme si son statut était semblable à une frontière juridiquement contraignante. Rappelons qu’en signant un accord de paix, Israël et la Jordanie ont reconnu mutuellement l’abrogation de la convention d’armistice et sa ligne de démarcation. La validité d’une ligne d’armistice expire et avec elle l’armistice. Par conséquent et officiellement, il ne peut donc y avoir de validité juridique quelconque sur la Ligne verte.
Sous toutes les formes et normes juridiques acceptées, il est clair aussi que Gaza n’est plus sous occupation israélienne. Le Droit international exige que dans toute zone considérée sous occupation, le territoire devrait être « placé de facto sous l’autorité de l’armée ennemie ». Une fois encore, il semble que la définition « occupation » s’applique seulement pour Israël. Tout système juridique se base sur un principe fondamental selon lequel le Droit s’applique à tout le monde et sans exception. C’est en effet sa raison d’être et à l’évidence, les détracteurs d’Israël sapent systématiquement le Droit international. Les tentatives de désigner Israël comme « Etat violant les règles du Droit international » est caractéristique de la “guerre juridique” contre l’Etat juif...
Il est à noter que malgré l’acceptation de la résolution 242 par Israël et par certains pays arabes, aucune des deux parties ne la met réellement en œuvre, chacun restant sur sa position.
Israël réclame ainsi des négociations directes avec les pays arabes et refuse de se replier sur les frontières d’avant la guerre des Six Jours. Pour justifier son action, le gouvernement s’appuie sur la version anglaise du texte de la résolution (le texte a été rédigé en anglais et en français, les deux langues officielles de l’ONU en 1967) qui parle d’un retrait israélien
« de territoires occupés » (« from territories occupied in the recent conflict »), ne précisant donc aucunement de quels territoires il s’agit (« from ‘the’ territories » aurait précisé l’origine des territoires), reniant ainsi la version française qui est nettement plus contraignante et qui parle « des territoires occupés lors du récent conflit ».
Les accords d’Oslo 1993
Les accords d’Oslo furent des accords bilatéraux signés à Washington
L’accord signé en 1993, était intitulé « Déclaration de principes sur des arrangements intérimaires d’autonomie ». Sa principale préoccupation était le retrait israélien des territoires de Judée, de Samarie et de la bande de Gaza afin de permettre l’établissement
d’une autorité palestinienne avec une autonomie gouvernementale sur une période intérimaire
jusqu’à l’établissement d’arrangements permanents.
Les Arabes exigent que le retrait s’applique à l’ensemble des territoires occupés lors de la
guerre
En
1949
tandis qu’Israël exige que des « frontières reconnues » soit mentionnées sans pour autant
qu’elles soient réellement définies. Les Etats-Unis ont appuyés jusqu’à ce jour les
revendications israéliennes .
La signature de la déclaration eut des conséquences spectaculaires sur la politique d’Israël envers l’OLP. Israël reconnut l’OLP comme représentant du peuple palestinien et annonça son intention d’entamer des négociations, dans le cadre d’un processus de paix global au Moyen- Orient. Arafat, au nom de l’OLP, reconnut le droit d’Israël à vivre en paix et en sécurité. Arafat s’engagea dans le processus de paix et œuvra pour une solution pacifique du conflit. Il fit la promesse de s’abstenir de faire usage d’actes de terrorisme et de violence, il reconnut les résolutions 242 et 338 du Conseil de sécurité des Nations Unies et promit de faire approuver les changements nécessaires dans la charte palestinienne par le Conseil national palestinien – concernant principalement les chapitres en contradiction avec la déclaration ou la désapprobation du droit d’Israël à l’indépendance.
A la suite de la guerre des Six jours, les Etats-Unis considèrent qu’Israël a attaqué les Etats arabes afin d’assurer sa défense suite à de multiples agressions ; ils refusent donc d’exercer une pression contre l’Etat hébreu, ils s’accordent sur la nécessité d’un retrait mais se gardent de spécifier les territoires qui doivent être évacués.
La signature de la déclaration eut des conséquences spectaculaires sur la politique d’Israël envers l’OLP. Israël reconnut l’OLP comme représentant du peuple palestinien et annonça son intention d’entamer des négociations, dans le cadre d’un processus de paix global au Moyen- Orient. Arafat, au nom de l’OLP, reconnut le droit d’Israël à vivre en paix et en sécurité. Arafat s’engagea dans le processus de paix et œuvra pour une solution pacifique du conflit. Il fit la promesse de s’abstenir de faire usage d’actes de terrorisme et de violence, il reconnut les résolutions 242 et 338 du Conseil de sécurité des Nations Unies et promit de faire approuver les changements nécessaires dans la charte palestinienne par le Conseil national palestinien – concernant principalement les chapitres en contradiction avec la déclaration ou la désapprobation du droit d’Israël à l’indépendance.
A la suite de la guerre des Six jours, les Etats-Unis considèrent qu’Israël a attaqué les Etats arabes afin d’assurer sa défense suite à de multiples agressions ; ils refusent donc d’exercer une pression contre l’Etat hébreu, ils s’accordent sur la nécessité d’un retrait mais se gardent de spécifier les territoires qui doivent être évacués.
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