dimanche, mars 29, 2015

La liste « commune » arabe fait allégeance à Mahmoud Abbas

La liste « commune » arabe fait allégeance à Mahmoud Abbas
Oui, nous faisons tout ce que l’on peut pour que les Israéliens aient peur de nous... Quand nous avons décidé de nous appeler « Joint list », nous avons fait une déclaration politique. Nous sommes une liste unie de tous les partis arabes en Israël,
L’immense majorité des citoyens palestiniens d’Israël rejoindra ce camp.

Après notre élection nous sommes allés faire allégeance à Monsieur Mahmoud Abbas Président de l’autorité palestinienne puis nous avons invité les arabes à manifester par une marche commune...contre l'élection de la droite et pour l’abjuration du sionisme.
Monsieur Mahmoud Abbas, qui pendant toute sa jeunesse a pratiqué l’antisémitisme ethnique et religieux après avoir été formé en URSS dans l’Université Patrice Lumumba... Le nationalisme
arabe ne peut plus tromper et cacher sa véritable nature fasciste
Le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a invité samedi les dirigeants arabes à intervenir dans les conflits qui bouleversent le Moyen-Orient, comme ils l'ont fait au Yémen. Dans son invite il ne fait que suivre ses prédecesseurs à ce poste
souvenons nous...
Hadj Amine el Husseini
Le leader palestinien a indiqué qu'il se rendra en Tunisie à l'issue du sommet pour participer à une marche contre le terrorisme à la suite de l'attentat contre le musée Bardo.
Ils décideront ensemble de la conduite à suivre concernant la Palestine avec Monsieur François Hollande.
Le Grand Mufti Hadj Amin al-Husseini avait démontré sa haine des Juifs en fomentant les pogroms de 1920 et de 1929.
Les nazis trouvaient donc chez le Grand Mufti Amin al-Husseini, et dans ses réseaux en Palestine et en Egypte (frères musulmans), un appui solide
et précieux.
En 1934, le parti arabe de Palestine se dote d’un groupe paramilitaire de jeunesse appelé à ses débuts les « scouts nazis » par référence explicite à la Hitlerjugend. La charia est imposée avec rigueur, tandis que les frères musulmans en Egypte
appellent au Djihad en faveur du Grand Mufti.
Etablissement d’une ségrégation raciale et religieuse envers juifs et chrétiens
d’orient.
L’année 1937 voit une forte montée du nazisme chez les nationalistes arabes de la région :
En Palestine : un rapport de consulat allemand souligne qu’une « Palestine arabe serait l’un des seuls pays à témoigner d’une forte sympathie pour la nouvelle Allemagne, »

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Drapeaux des sections de Jeunesses Hitlériennes de Palestine saisis au consulat allemand pendant la Seconde Guerre Mondiale. La mention Palästine est parfaitement visible sur les deux.
Insigne porté sur la manche droite par les volontaires arabes de la Legion Freies Arabien (Légion Arabe Libre) au sein de la Wehrmacht.
En Egypte : le parti Jeune-Egypte, fondé en 1933, se dote d’une unité de
combat sur le modèle du NSDAP... parmi eux, Gamal Abdel Nasser, ainsi que
son frère qui traduisit en arabe « Mein Kampf ».
En Syrie : Sami Al Jundi, fondateur du parti Ba’ath syrien, déclarait « Nous admirons les nazis. Nous sommes immergés dans la littérature et les livres nazis. Nous envisageons de traduire « Mein Kampf » en arabe.

Le consul allemand de Jérusalem écrit en octobre 1938 :
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« La formation d’un état juif n’est pas dans l’intérêt de l’Allemagne, car un état Palestinien
(à l’époque, Palestine voulait dire « juif ») signifierait la création d’une base nationale de soutien pour la juiverie internationale sur le modèle de l’état du Vatican pour le catholicisme politique ou Moscou pour les communistes. Il est par conséquent dans l’intérêt de l’Allemagne à renforcer les arabes comme un contre-pouvoir opposé à tout renforcement possible des juifs. » L’idéologue du régime nazi, Alfred Rosenberg, écrivait lui aussi en 1938 :
« Plus le brasier nationaliste arabe se maintient en Palestine, plus se renforce l’opposition musulmane à un état juif en Palestine, et au-delà même de la Palestine, dans les autres pays musulmans. »
1939 le Grand Mufti quitte la Palestine pour la Syrie puis rejoint l’Allemagne.
A partir de 1941, l’histoire de la collaboration du Grand Mufti Hadj Amin al-Husseini au régime nazi est bien connue : la Diplomatie de l’Imposture
En France c’est « bas les masques », on éteint les « Lumières » L’après « Première Guerre Mondiale », la fin de la domination coloniale, le déclin de l’Europe, la déclaration Balfour, les accords Sykes-Picot, le soulèvement arabe contre les Turcs ... une nouvelle géopolitique est née.. le nationalisme arabe avec à sa tête Hadj Amine El Husseini, Grand Mufti de Jérusalem, détenteur d’un double pouvoir temporel et spirituel, formé à l’Université Al Azhar berceau des Frères-musulmans, prend la suite du mouvement contre les Turcs et s’attaque aux Palestiniens Juifs.
L’Allemagne nazie, qui veut une influence plus grande au Moyen-Orient, se rapproche du nationaliste musulman palestinien d’autant plus facilement que Hadj Amine El Husseini, Président du Conseil Suprême Musulman, est attiré par les nazis ainsi d’ailleurs que le futur Ayatollah Khomeini : Himmler sera pour le nationalisme musulman une grande source d’argent et d’armes.On peut imaginer le rôle que joua Husseini dans la Solution Finale, alors que jusqu’en 1937 les Allemands étaient partisans du départ des juifs d’Allemagne vers Israël ; sa déclaration après son entrevue avec Eichman ne laisse aucun doute « J’ai eu recours aux Allemands pour sauver ma Patrie, la Palestine »
Les schismes et les rivalités sont mis de côté au nom de l’islam entre « gens de la quibla » et tendent vers un commandement unique au sein de la vie communautaire islamique et du « Djihad », portant ainsi les peuples et les foules à toutes les révoltes, guerres ou émeutes auxquelles Dieu doit donner le succès. La présence juive, et qui plus est une entité démocratique en plein milieu du Moyen Orient, est une insulte et une présence inquiétante pour le Guide suprême pour sa stratégie et pour son messianisme religieux.
Puis vient la période Arafat dont l’oncle fut le Grand Mufti de Jérusalem Hadj Amine el Husseini, Yasser Arafat , (Rahman Abdul Rauf al Qudwa al Husseini) se considérait comme le fils spirituel et le qualifiait encore en 2002 de héros de la cause palestinienne
Yasser Arafat
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La proclamation de l’état d’Israël, les défaites des armées arabes soutenues armées et conseillées d’une part par les anciens nazis et d’autre part par les régimes communistes, sont une grande humiliation. C’est ainsi que le Monde Islamo-Arabe extrémiste, aidé et conseillé par ces nazis qui n’ont pas admis la défaite et qui nourrissent toujours une haine du peuple juif encadrent et forment le bras armé qui sera chargé de libérer la Palestine.
La « Shoa » n’ayant pas réglé le problème définitivement au goût des nationalistes arabo- musulmans, la politique mise en place par Hadj Amine El Husseini doit se perpétuer, mais ce dernier vieilli et compromis par sa participation et sa collaboration au régime nazi qui a fait faillite, doit laisser sa place momentanément à Choukeiri, lui-même remplacé rapidement par l’héritier direct, idéologique et familial, Yasser Arafat.
L’ex empire arabo- musulman ayant constaté la vulnérabilité des démocraties, sa croissance démographique aidant, se lance à la conquête du Monde.. des guerres civiles semi-religieuses naissent un peu partout.
Imperméable aux mutations sociales, à l’émancipation des femmes, à l’école laïque, il renforce ses juristes médiévaux et théocratiques ; le bonheur la liberté sont consacrés à Dieu, la pratique religieuse, la ferveur et la dévotion populaire sont poussées à l’extrême.

Chargé des questions Juives et Israéliennes, Arafat successeur de Hadj Amine El Husseini, fin stratège politique qui après avoir fait peau neuve s’est transporté du National socialisme à l’Internationale socialisme, trouve dans un contexte politique mondial une Europe réceptive à ses idées et trop heureuse de pouvoir occuper ses extrémistes de droite et ses nostalgiques rescapés du bloc de l’est communiste et antisémite alliés à la gauche trotskiste française à la lutte contre « l’allié de l’impérialisme américain et la mondialisation ».

Arafat préconise pour des uns et exigent pour des autres d’obtenir des Juifs l’abjuration du Sionisme, se fait l’apôtre des tiers-mondistes, mobilise les ONG et à Durban met en place les nouveaux « Protocoles » qui lui permettront de parfaire la lutte Anti-juive comme il la conçoit lui : une lutte philosophique historique et religieuse, une dépossession du Patrimoine culturel, une annihilation complète des témoignages de la présence juive en Palestine et de la civilisation juive dans le monde, rejoignant ainsi Ben Laden chargé lui de la lutte religieuse, en attendant la reprise de l’extermination physique comme l’a promis «El-kaida », le Djihad et le Hamas, ses alliés dans le Djihad.
Ce n’est pas en faire commerce que de préciser que « l’après Shoa » a été de très courte durée, la guerre des 6 jours soit à peu près 20 ans et la chute du mur de Berlin y ont mis un point final libérant ainsi l’Europe politiquement et philosophiquement.

Les communautés juives vivent une certaine « cachérisation » par la gauche mondiale de l’antisémitisme de la droite extrême :
Mieux vaut Ben Laden ou Arafat que Sharon, ou mieux vaut un palestinien qu’un juif tel est le sentiment qui se propage et que l’on peut ressentir actuellement en Europe.
En France et même en Europe le mariage de raison entre la « parenthèse » et le « détail» est un vrai pont et même un trait d’union entre les antisémites et les anti-israéliens.

Il Faut s’infiltrer, agir en ayant comme point de mire la destruction de l’état Juif et son remplacement par un état multiconfessionnel, la dénonciation de la Démocratie Israélienne par tous les moyens et la diabolisation de Nataniyahou.
La presse qui veut jouer un rôle d’éducateur et de formateur des masses, ivre de son nouveau pouvoir ne fait pas la différence entre la propagande et l’histoire.
Des idéologues de toutes espèces et de toutes obédiences s’y engouffrent, la politique, la mondialisation de la diffusion et les intérêts aussi.
On trouve même quelques « juifs rescapés soixante huitards »qui parlent de complots et qui invectivent ceux qui veulent faire honnêtement leur métier et qui osent s’éloigner de cette norme nouvelle et de cette consigne reçue à Durban dans la tradition trotskiste, ils dénoncent ceux qui s’en prennent à« des
personnalités et des journalistes comme Charles Enderlin, Sylvain Cypel, Alexandra Schwartzbrod, Mouna Naïm, Gilles Paris, Edgar Morin, etc. Comme par hasard, nombre d’entre eux sont juifs», mais qui tous servent la politique et non le journalisme.
Robert Ménard déclare Nuremberg discutable, ne veut pas de Frontières au révisionnisme, Mme Chantal Delsol réclame une tribune pour Faurisson s’étonne qu’il soit en quarantaine et veut pouvoir l’inviter à dîner.... tandis que Tasca voit d’un bon oeil l’abolition de la loi Gayssot tout comme le Parti Musulman de France.
Flammarion et les salons bien pensants, qui reçoivent entre autres Ménard et Delsol, trouvent imbuvables ces nouveaux censeurs que sont les Juifs et surtout les Juifs sionistes, le Monde syndical lui veut le boycott du monde universitaire israélien et les scientifiques eux veulent carrément la « peau des juifs ». Après avoir prêché pour la glorification de la période Andalouse et la Dhimitude, Edwy Plenel enterre la civilisation judéo-chrétienne, voit s’ouvrir devant lui une philosophie de combat et jette dans la bataille l’ébauche d’une civilisation musulmano-chrétienne .
Il faut rendre justice à la France, sa politique au Moyen Orient est constante, elle a sauvé Khomeini elle a sauvé Hadj Amine El Husseini, elle a sauvé Arafat, le quai d’Orsay tient à sa politique héritée des accords Sykes-Picot, sa zone d’influence doit être sauvegardée, ses vues sur la carte du Moyen-Orient doivent prévaloir et parenthèse ou pas il faut que l’état d’Israël vive dans les frontières sûres et reconnues préconisées et pas dans des frontières sûres et reconnues, cette politique a d’ailleurs donné ses preuves en France où les juifs commencent à vivre dans des frontières encore pas très sûres mais facilement reconnaissables : devant chaque synagogue et organisme juif il n’y a pas encore des chevaux de frises et des tanks mais c’est tout comme.
A la sympathie polie de l’Europe, si l’on excepte quelques régimes communistes et une certaine partie de l’extrême droite et gauche succède une lutte d’un autre « type » un consensus de la droite et de la gauche qui ne se cache pas et qui trouve ses « légitimités » dans les différentes luttes et intérêts.
A l’aube de 2003 les événements l’exigent, une nouvelle forme de pogrom voit le jour, le pogrom médiatique et intellectuel, les pogroms économiques et les pogroms politiques.

L’abjuration du sionisme voulue par Arafat est défendue au Parlement Européen, qui finance directement les troupes d’Arafat, nous ne sommes pas loin de la remise en cause de l’Etat Juif.
En France, en Belgique et même en Allemagne pour vivre tranquille un Juif doit, comme en 1935, s’assimiler cacher son apparence ou son appartenance au Peuple juif.
Constants dans leur politique, les Partis “palestinaux israéliens”, veulent la peau de Nataniyahou et du Sionisme.
Sur le même régistre que “Attention la Gauche revient” ou “Attention la droite revient” Nataniyahou met en garde ses électeurs contre l’abstention et les invitent à se rendre nombreux aux urnes pour un vote en faveur du Likoud.

La gauche, Obama,J”Street,crient au scandale et à la mort de la “démocratie” ce qui ne trompe personne pas même les accusations d’OBAMA, les Israélo-palestiniens appellent presque à la “dissolution” de l’Etat d’Israël.
C’est la remobilisation des 800 Mercenaires Juifs, V15, Intellectuels et Tutti quanti et les médias ressortent Zéev Sternhell et ses affirmations.

Zeev Sternhell affirmait qu’Israël pratique la discrimination ethnique sur base quotidienne et que l’apartheid existe déjà dans le pays. Il a appelé la communauté internationale à tenir Israël pour responsable et à exiger qu’il démantèle la plupart de ses colonies, sinon « Israël devra être tenu pour un État paria ».
Sternhell, qui, naguère, a dirigé le département des sciences politiques à l’Université hébraïque de Jérusalem, a déclaré que la demande adressée par le Premier ministre Benjamin Netanyahu au président palestinien – c’est-à-dire reconnaître Israël en tant qu’État juif – signifie que les Palestiniens devraient reconnaître leur défaite et reconnaître en même temps que leur terre historique est la propriété exclusive des Juifs.
Il a expliqué que cela signifie également que les Palestiniens devraient « renoncer à leur identité nationale » et accepter leur défaite culturelle et historique.


À propos du concept de la paix, il a fait remarquer que la majorité des Israéliens ne sont ni prêts ni en mesure de soutenir une paix juste avec les Palestiniens. Ce qui est renforcé aujourd’hui dans toutes les couches de la société israélienne, c’est la croyance que la seule paix concevable consiste en la reddition inconditionnelle des Palestiniens.
Toutefois, Sternhell a insisté sur le fait qu’une paix s’appuyant sur la justice doit reconnaître les droits de tous, et pas seulement respecter les droits du plus fort.
L’historien a également déclaré que l’État d’Israël était préoccupé par la réalisation du Projet sioniste révisionniste de Ze’ev Jabotinsky, projet qui affirme avant tout qu’Israël est le pays du « peuple élu », plutôt que de servir à « garantir la démocratie, l’égalité, les droits de l’homme ou même une vie décente pour tous ».

Il a ajouté que l’État existait en fait pour assurer la domination juive sur la terre d’Israël et de faire absolument en sorte qu’aucune autre entité politique n’y soit établie.
Zeev Sternhell
(Paru dans Middle East Monitor le 5 mai 2014)
Les Médias américains s’enflamment contre OBAMA et affirment que l’alliance entre leur Pays et Israël est plus forte qu’OBAMA, pendant que les Chiites et les Sunnites s’entretuent et il y en a qui en appellent même à Israël.
Haim 

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