vendredi, décembre 09, 2011

La logique… Les évidences… et le… Jugement correct !

La logique… Les évidences… et le… Jugement correct !
Le Peuple juif en particulier et les Israéliens en premier sont profondément affligés par les positions parfaitement incompréhensibles qui veulent les couper des racines de l’histoire de la Palestine…
En se dotant d’une organisation étatique, l’Etat Juif pouvait espérer ne pas se voir contester les normes politiques et historiques reconnues aux soixante et quelques Nations qui cohabitaient avec lui aux Nations-Unies !
Pour la morale et le jugement correct de l’histoire, les errements de ces décennies qui suivirent sa renaissance, nous font déplorer les préjugés qui subsistent bien après Vatican 2 et la Shoah !
Et l’on s’aperçoit que la logique n’est pas l’art du jugement correct…
Le « Plus jamais ça… » Est une détermination fictive et complexe !
L’Europe qui avait beaucoup de chose à se reprocher aurait dû se retrouver la première au côté d’Israël… mais c’était sans compter les intérêts en jeu et les dommages sur les politiques arabes.
Juger ne traitera pas et surtout ne représentera pas la perfection et encore moins la logique ou l’art de penser… mais la politique se mesure à l’art du langage… La Morale peut-elle juger correctement ceux qui jugent incorrectement !

Sarkozy a traité Netanyahou de "menteur" dans une conversation avec le président des Etats-Unis Obama… !

Le président du Crif, Richard Prasquier, a estimé "inconcevable de voter Marine Le Pen" :"voter Le Pen, c'est irresponsable politiquement et écœurant d'un point de vue moral"
"Le discours de Marine Le Pen ne correspond pas à la réalité mais obéit à une posture électorale".
Fustigeant "l'antisémitisme en filigrane dans les programmes de certains partis français", Richard Prasquier a également critiqué l'extrême gauche et les Verts qui "ont fait de la détestation d’Israël un des éléments de leur programme politique".

Jeannette Bougrab, secrétaire d’Etat à la Jeunesse qui avait déclaré ne pas connaître d’islamistes modérés, "Cette prise de position lui a valu un coup de fil incendiaire de Jean-Paul Faugère, le directeur de cabinet de François Fillon. Il lui a reproché de remettre en cause la politique étrangère de la France, allant jusqu’à l’accuser de « haute trahison »

Moshé Sakal est un jeune écrivain israélien francophone.
Comme beaucoup de ses confrères de la littérature israélienne contemporaine, Moshé Sakal est favorable au dialogue méditerranéen et à l’entente avec les pays du Moyen-Orient, notamment avec les auteurs des pays arabes voisins avec lesquels il dit se sentir des affinités, selon lui, en tant que fils d’une famille sépharade originaire d’Egypte et de Syrie. Il était donc tout naturel de l’avoir invité à cette Conférence des Ecrivains méditerranéens les 3 et 4 décembre 2011 à l’initiative de l’ACRIMED.
Un « poète » arabe répondant au nom de Najwan Darwish a exigé l’expulsion de Moshé Sakal lors d’une table ronde et a accusé ce dernier de « l’avoir expulsé de sa terre et de haïr particulièrement les Arabes comme tous les Juifs sépharades. »
Moshé Sakal dont la famille a déjà été spolié et expulsée d’Egypte, Les dirigeants de l’ACRIMED ont plié aux exigences arabes antisémites. Ils ont préféré la honte à ce que leur Conférence n’explose.

Le Cardinal Jean-Louis Tauran, président du Conseil Pontifical pour le Dialogue Interreligieux,… le Vatican préconise l’internationalisation des lieux saints de Jérusalem…
Il ne nie pas les racines juives de Jérusalem en précisant que « cette partie de Jérusalem c'est-à-dire l’Est… avec les lieux saints des trois religions est le patrimoine de l’humanité car chacune d’entre elles y a ses racines. »
J’ai toujours appris que les racines de l’Islam sont l’Arabie et reposent sur le Coran révélé et transmis par Dieu à Mahomet !
Le Cardinal justifie cette injonction ainsi : « supposons que demain une partie de Jérusalem appartienne à un État palestinien : un matin un groupe de fondamentalistes musulmans pourrait décider de construire une mosquée là où se trouve le Saint Sépulcre. »
Il lance une croisade pour la libération de Jérusalem de la dominance Juive… !
…«… que la communauté globale gère … « les lieux saints dans la Vieille Ville de Jérusalem » … !
Vendre Jérusalem pour tenter de sauver les quelques chrétiens qui restent en terre musulmane ?
« Il est effectivement devenu urgent de trouver une solution. Certes, on comprend bien que l’Etat d’Israël doive se défendre du terrorisme. Personne ne peut justifier le terrorisme, quel qu’il soit. Le problème, c’est la réponse. Trop souvent, c’est le peuple qui fait les frais de l’opération. Il faut que la réponse légitime soit faite avec mesure. Il s’agit de faire preuve de proportionnalité entre le mal à combattre et les moyens que l’on utilise. »

En 1988 (31 juillet), Le Roi Hussein de Jordanie déclare à la télévision qu'il abandonne ses revendications de souveraineté sur la Cisjordanie et Jérusalem-Est à l'Organisation de libération de la Palestine. Cette déclaration n'a pas de valeur en droit international et ne devrait pas en avoir !
Il est néanmoins précisé que « le rôle spécial » du Royaume de Jordanie sur les lieux de pèlerinage musulmans de Jérusalem est reconnu. Une priorité sera accordée à ce rôle historique lors des négociations sur le futur statut permanent de la ville, ceci conformément à la Déclaration de Washington du 25 juillet 1994.

Après la Déclaration d'Indépendance de l'État d'Israël en 1948 et la guerre qui s'ensuit, la ville se retrouve divisée entre une partie occidentale en Israël et une partie orientale (comprenant toute la vieille ville) en Jordanie. En 1949, Jérusalem-Ouest est proclamée capitale d'Israël.
En 1967, Israël déclare Jérusalem « réunifiée », sa capitale « éternelle et indivisible ». Toutefois, le droit international a jugé nulle cette modification du statut de la ville.
En 1980, dans une loi fondamentale israélienne, la Knesset déclare Jérusalem capitale
« Éternelle et indivisible » : c'est la Loi de Jérusalem. Les différents pouvoirs israéliens… législatifs,
Exécutifs, judiciaires et administratifs, sont regroupés à Jérusalem.
Suivirent les résolutions adoptées par le conseil de sécurité des Nations unies.
Le Conseil de sécurité, dans ses résolutions 476 et 478, déclare que la loi israélienne établissant Jérusalem capitale « éternelle et indivisible » est nulle et non avenue, et constitue une violation du droit international.
Lors de la proclamation d'un État palestinien par l'OLP en 1988, Jérusalem est choisie comme capitale par Yasser Arafat.
A l'expiration du mandat britannique, le plan de partage de la Palestine de 1947 prévoyait que Jérusalem et Bethléem deviennent un Corpus Separatum sous contrôle international et indépendant de ce qui devait devenir un État arabe et un État juif. Cette séparation devait ainsi garantir à tous les cultes le libre accès à tous les lieux saints en sécurité. Le Comité spécial sur la Palestine avait prévu qu'après un délai de dix ans de « Corpus Separatum », le statut définitif de Jérusalem serait fixé par la population consultée par référendum.
L'expansion de la Nouvelle Ville, édifiée essentiellement par les Juifs, remonte au XIXe siècle. C'est dans cette zone, sous contrôle israélien pendant la période de la partition, que se trouvent la plupart des édifices gouvernementaux. Le musée d'Israël, qui abrite des collections d'art et d'archéologie, se situe au sud, ainsi que le sanctuaire du Livre, où sont conservés les manuscrits de la mer Morte. Plus à l'ouest se dressent de hauts immeubles résidentiels.
L'enjeu géopolitique du gouvernement israélien vise à empêcher à tout jamais la redivision de la ville et renforcer la présence des juifs.
Aux marges de Jérusalem, les villes Ramallah, Bethléem et les villages arabes connaissent une très forte expansion et cherchent à ceinturer Jérusalem côté Est pour proclamer la prépondérance arabe de la ville contestée par les Israéliens.
C’est ainsi que l’on a vu que toute l’histoire contemporaine de Jérusalem est mise « à gauche » par le parti socialiste… La ville de Paris par son communiqué de cette fin novembre 2011 offre la reconnaissance de Jérusalem-est aux Palestiniens et la consacre comme capitale de cet Etat qui n’existe pas !
Il a été depuis 1949 et à ce jour refusé à Israël la reconnaissance de Jérusalem comme capitale… alors qu’il n’existait pas de problème d’ « occupation » avant 1967 !
Il faudrait que l’on explique aussi les silences autour de la ville de Bethlehem qui est reliée à Jérusalem… par le fameux …Corpus Separatum… sous contrôle international !
Un peu d’histoire remettrait les pendules à l’heure au sujet de Jérusalem !
Jérusalem est la ville, dont l'histoire a près de 5 000 ans, reste l'enjeu d'un conflit dont les conséquences dépassent les frontières du Proche-Orient.
Les fouilles archéologiques ont révélé l'existence, à l'âge du bronze, d'une cité pourvue d'un rempart. Habitée par les Cananéens vers 2500 av. JC, elle devient une citadelle jébuséenne, et ne résiste pas à l'invasion des Hébreux vers 1000 av. JC, David s'en empare en fait non seulement la capitale politique de son royaume, mais encore la capitale religieuse en y apportant l'Arche d'alliance, où étaient conservées les Tables de la Loi. C'est pour abriter cette arche, témoin de l'alliance des Hébreux avec leur Dieu, que Salomon entreprend la construction du premier Temple, sur le mont Moriah. Après la scission du royaume de Salomon (931), Jérusalem reste la capitale du royaume de Juda. Le trésor du Temple attire les convoitises et la ville se développe. Le roi Ézéchias (715-687) la dote d'un aqueduc souterrain, pour capter l'eau de la source de Siloé.
Nabuchodonosor II, s'en empare et la détruit en 586; le Temple de Salomon est ruiné, et les Judéens sont déportés à Babylone. Cinquante ans plus tard, Cyrus le Grand, roi des Perses, vainqueur de Babylone, autorise le retour des Juifs à Jérusalem et incite ces derniers à reconstruire le Temple, la restauration de la ville s'achève sous le gouvernement de Néhémie. La domination perse dure jusqu'à la conquête d'Alexandre le Grand, qui annexe la Palestine en 332.
Ptolémée prend le contrôle de la Judée et déporte de nombreux Hébreux à Alexandrie. L'éviction des Lagides, vers 198, par le roi séleucide Antiochos III est bien accueillie par les Hébreux. Mais, quand Antiochos IV Épiphane pousse l'hellénisation de Jérusalem jusqu'à profaner le Temple, les Juifs se révoltent sous la conduite des Maccabées et chassent les Syriens. En 165, le Temple est de nouveau consacré, et les Maccabées fondent la dynastie asmonéenne, qui règne jusqu'à la prise de la ville par Rome en 63.
Lors de la répression de l'une des plus importantes révoltes juives, en 70 de notre ère, l'empereur romain Titus y détruit le deuxième Temple.
En 135, après l'échec de la révolte menée par Bar-Kokheba, les Juifs sont bannis de Jérusalem, que l'empereur Hadrien transforme en ville romaine sous le nom d'Aelia capitolina.
La domination byzantine, brièvement interrompue par une occupation perse (de 614 à 628), dure jusqu'en 638, date à laquelle le calife Omar (vers 581-664), s'empare de la ville. La Coupole du Rocher porte son nom.
Les musulmans, bâtissent le Dôme du Rocher sur le site du Temple (de 688 à 691) et la mosquée al-Aqsa (entre 705 et 715). Le calife fatimide al-Hakim (996-1021), détruit synagogues et églises, y compris le Saint-Sépulcre.
La prédication des croisades reposera sur la volonté d'arracher le tombeau du Christ des mains musulmanes.
Lorsque les troupes de l’Ière croisade eurent «délivré» Jérusalem en juillet 1099, Godefroi de Bouillon devint l'avoué du Saint-Sépulcre
Jérusalem passe, en 1260, sous le contrôle des Mamelouks, qui dotent la ville de quelques constructions remarquables mais qui accablent d'impôts les non-musulmans. Jérusalem perd de son rayonnement jusqu'à son intégration, en 1517, dans l'Empire ottoman. Soliman le Magnifique fait relever les murailles restaure la porte de Damas et la citadelle, ses successeurs se désintéressent de la ville.
Au cours du XIXe siècle, la population de Jérusalem passe de 10 000 h. (dont 2 000 Juifs) à 80 000 (dont 50 000 Juifs),
Le général Allenby pénètre en conquérant dans Jérusalem au cours du mois de décembre 1917.
La Société des Nations place la Palestine sous mandat britannique en 1923. La première pierre de l'Université hébraïque, qui sera inaugurée en 1925, est posée sur le mont Scopus. L'immigration juive, encouragée par la déclaration Balfour, est de plus en plus importante. Nombreux sont les sionistes qui concrétisent le vœu exprimé dans la fameuse phrase : «L'année prochaine à Jérusalem.» Les Arabes, déclenchent des émeutes à partir de 1929.
À l'issue de la Seconde Guerre mondiale, les Nations unies adoptent en 1947 un plan de partage de la Palestine, qui prévoit l'internationalisation de la ville et la constitution de l'État d'Israël. Les Arabes rejettent cette résolution, et en 1949 Jérusalem est divisée sur les lignes du cessez-le-feu entre un secteur jordanien et un secteur israélien.
Le Comité spécial sur la Palestine avait prévu qu'après un délai de dix ans de « Corpus Separatum », le statut définitif de Jérusalem serait fixé par la population consultée par référendum.
En 1980, Jérusalem est proclamée capitale de l'État d'Israël. Les pays arabes acceptent difficilement cet état de fait, et de nombreuses nations refusent de reconnaître la souveraineté israélienne sur la totalité de la ville.
Jérusalem compte 630.000 habitants [en 1994], dont plus des trois quarts sont juifs
La Vieille Ville, entourée de murailles et qui abrite la plupart des lieux saints est divisée en quatre quartiers: le musulman, le juif, le chrétien et l'arménien. Le quartier juif, détruit entre 1949 et 1967, pendant la période de contrôle jordanien, a été restauré. Le Mur des lamentations, lieu le plus sacré du judaïsme, est l'un des contreforts qui soutenaient la plate-forme monumentale de l'édifice du Temple !
C'est ainsi que les Arabes chrétiens, le Vatican, mais aussi par « caprice » le gouvernement français, seront les plus fervents soutiens à une internationalisation de Jérusalem, comme proposé en 1947.
La France « Pour nous, Jérusalem doit être, à la fois la capitale de l'État d'Israël et du futur État palestinien».
La France ayant appuyé la reconnaissance de la Palestine avec comme capitale Jérusalem Est par l’UNESCO se verra reconnaître automatiquement Bethlehem comme ville de l’Etat musulman de palestinienne… L'Autorité palestinienne (Etat Palestinien) a officiellement présenté la candidature de Bethléem au patrimoine mondial de l'Humanité de l'Unesco, faisant fi des lois internationales et un parti pris anti israélien !
Les États-Unis ont fait passer une loi au Congrès en 1995 établissant que « Jérusalem devrait être reconnue capitale de l'État d'Israël »,
Le Royaume-Uni considère que le statut de Jérusalem doit être défini par des négociations entre les parties israélienne et palestinienne.

La logique est supplantée par une sémantique spécifique et par la recherche d'une méthode, la vie politique et sociale se rassemble autour des spécialistes du combat aux contours qui se sont précisés peu à peu ; dont le prestige s'est accru, au point qu'il s'est confondu, à des époques diverses selon les pays. Il forme alors une caste qui obéit aux prescriptions d'une morale spécifique que véhicule la littérature… Gauchiste, verte et communiste… et révèle de la mutation sémantique, en cours, pour désigner un statut, dans sa réalité, fort différent. La lutte contre le …Sionisme… !
La position morale n'est pas fondamentalement différente de celle de la détestation du judaïsme, à savoir une attitude de principe défavorable à la personne humaine du juif !

Triton
09-12-2011

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