C'est cette "idéologie renouvelée" qui nie jusqu'à l'humanité avec une logique mise au service d'un projet d'élimination pure et simple d'une des nations de cette même assemblée qu'est l'Etat juif.
C'est cet état de choses, qui dérive en fait, du cynisme identique qui régnait chez la plupart des membres de l'ONU lors du vote fameux "sionisme égal racisme".
Le destin de cette idée n'est pas seulement fonction de sa genèse mais de l'assentiment qu'elle a rencontré et de son devenir dans la densité culturelle de son champ d'actions qu'est le Monde musulman…, l'Amérique latine… et une partie de l'Afrique sans oublier une partie de l'ex Union soviétique…!
La démarche de délégalisation de l'existence de l'Etat juif combattue mollement au sein même de l'Europe, la suggestion d'une normalisation de l'idée de " Parenthèse" qui a fait son chemin dans le discours politique français, l'influence néfaste et la politique de chantage de la morale relativiste imposées à l'Onu par le monde arabe et islamiste et une partie du "tiers monde"… sont responsables de ce désarmement moral et philosophique.
L'ONU a donné un blanc seing aux ONG, un permis de racisme en quelque sorte, d'où découlent Durban et le projet du génocide annoncé par l'Iran et son Président qui nie et critique les résultats du "Nazisme". Puisqu'il existe encore des juifs et que cette solution du problème est jugée par lui imparfaite et incomplète, Ahmadinejad se propose donc de la rectifier et de la résoudre définitivement : Il réclame d'abord et avant tout cette seconde mort, la seconde mort de la solution finale… la seconde mort de l'oubli et de la descendance… La mort qui efface les traces et la traçabilité… les vestiges matériels et l'histoire, l'ethnologie, l'anthropologie physique et la culture. La "fouille préventive à but négationniste" préconisée par sa culture et sa formation d’intégriste et de fondamentaliste, sa Schizophrénie morale, son islamisme originel dans sa version la plus radicale de la sharia… du dogme de l'intolérance, de sectes politico-mystiques obéissant à des voix ou des appels qui font de lui un "Mehdi"… Copie conforme d'un certain Idi Amine Dada de triste mémoire lui aussi acclamé jadis par les mêmes souteneurs internationaux de l'ONU, une réplique qui …mange… du juif tous les jours…!
Il s’agit là d'une démarche officielle destinée à exprimer ses idées et ses solutions, dans le but de provoquer l’adhésion aux thèses proposées, par le recours à toute une série d’arguments et de méthodes.
Enfin, et surtout ceci découle de cela, parce qu’il se fait dans le langage de cette gauche retirant leur signification à des valeurs fondamentales comme celles du vrai et du bien et présente un vecteur commun qui parcourt toutes ses formes… l'Antisémitisme.
Cet antisémitisme avec des formes nécessairement différentes qui restent ouvertes en permanence et n'appartient pas seulement à un certain type de société, il se trouve aussi dans toutes les autres et ne demande qu'à être exploité.
Pour nous les juifs la représentation de cette anormalité après la Shoah, le concept de cette
« Maladie mentale », cette mutation dans le sens d'une progression vers la vérité de la folie de ce monde, nous conduit à l'envisager comme le résultat de la transformation de l'anormal au normal dans le contexte nouveau de la politique internationale.
Cette maladie n'est plus affaire d'idées ou de théories, l'opposition apparente de l'Occident masque la stabilité essentielle de ses grands «socles», dont elle tire l'objet et met au jour son conditionnement en se donnant un discours homogène et structuré.
À partir de là, dans ce contexte fixé, il est inévitable de se demander jusqu'à quel point l'Alter mondialisme, de par ses alliances, ses interventions et ses "compréhensions", peut maintenir une marge d'autonomie qui lui permette de se "reconnaître lui-même" et pas comme un sujet à l'intérieur du système qui le détermine et, littéralement, l'assujettit.
On comprend alors aujourd'hui Durban, l'Alter mondialisme met spectaculairement en scène l'exclusion imposée de l'Etat juif, s'appuyant sur des considérations qu'il avait développées précédemment, jusque dans ce qui paraît constituer le principe de l' existence et de la vie de l'Etat d'Israël. C'est comme s'il lui avait fallu, en s'appuyant sur une chronologie plus longue, prendre un recul supplémentaire par rapport à la forme et tend, de plus en plus à l'effacer.
Ainsi, peut-on dire, que notre société crée les conditions non seulement de l'«éthique» mais se soumet à leur contrôle ce qui permet en retour de réfléchir sur la signification d'une vie libérée des normes par un système et des institutions "normalisés", et sans qu'il soit nécessaire pour cela de se placer à "l'extérieur de lui", une nouvelle dimension de l'éthique comme un phénomène social, dans les conditions fixées par des dispositifs d'une société donnée.
Avec ses discours, ses articles de presse dont l'intérêt ne réside pas seulement dans l'information qu'ils contiennent, ni dans la façon dont elle est organisée, mais dans la possibilité qu'ils offrent de construire cette pensée et ce discours. A partir de ces informations et à travers toute une série de suggestions moins voyantes et surtout, tout un réseau de symboles, de thèmes et d’images dans le domaine émotionnel qui portent tous les formes et les aspects de la persuasion.
L'affaire Al Dura "Le Petit Mohamed"
"La nature même de ce que je raconte, autant que sa véridicité : "cela a été" - "cela est" - "je vous l'ai dit, ce fut ainsi".
Suivit, par le commentaire de Catherine Nay…, constituent précisément à l’heure actuelle une même tendance à aborder la question de l’argumentation qui tend à provoquer ou à accroître l’adhésion des esprits aux thèses qu’on présente à leur assentiment.
Il s’agit, en premier, d’une démarche rationnelle et consciente, conçue pour analyser, réfuter, polémiquer, comparer ou nuancer les arguments qui se succèdent selon un schéma et suivant un plan qui pénètrent jusqu’à l’inconscient.
C'est cette démarche qui permet finalement de surmonter l'opposition de l'éthique et de l'histoire à ces thèses, un processus qui les engendre au fur et à mesure qu'il les applique. Ces critères de légitimité bouleversent le système de perception et donnent lieu aux nouvelles pratiques.
On pourra ainsi multiplier les recherches et analyses, on pourra faire des mises en place de dispositifs juridiques, de réorganisation du Religieux du monde musulman, sur les moeurs et la morale, sur les pratiques corporelles, et mode vestimentaire, avec comme but de cerner et de combattre.
Le discours est linéaire et traduit l'idée d'un ordre irréversible et unidimensionnel, un repère de l'avant et de l'après, il s'agit d'un concept unifié d'idées et de données interconnectées, et de la façon dont ces idées et ces données peuvent être un mode d'organisation du domaine de connaissance concerné aux finalités de son utilisation.
Démarche qui dénationalise le Hezbollah en fonction des besoins et de la cause… de "mouvement de résistance national libanaise, représenté à l'assemblée nationale libanaise avec parlementaires et ministres, il devient le suppôt de la Syrie et de l'Iran, l'intouchable… alors qu'il a jadis enflammé l'assemblée nationale française avec une unanimité qui aurait fait pâlir en son temps de Gaulle et ses référendum.
les dégâts du Liban sont estimés à plus de 2,5 milliards de dollars, Jacques Chirac lui organise un "Teleton-Liban" qui récoltera un montant équivalant au produit national brut, lors de la conférence de Paris, qui s'ouvre en France.
Aujourd'hui c'est officiel " le Hezbollah est puissant, s'appuie sur une milice disciplinée et armée par l'Iran, ménage la Syrie par où transitent ses armes, et est auréolé de ses deux victoires contre Israël, en 2000, quand Tsahal a évacué le sud du Liban, et cet été, lorsque les bombardements n'ont pas fait plier ses troupes" nous relate "Le Monde".
"Anti-israéliens d'un côté, anti-syriens de l'autre, les trois grandes communautés du Liban - sunnites, chiites et chrétiens - s'équilibrent dans un avenir incertain… "Tout le monde brandit le drapeau libanais, … mais pour fonder un pays, il faut un ennemi commun. C'est le point central de discorde."
"La corruption est générale et l'argent s'évapore rapidement sous le soleil libanais. "La corruption fait partie de la politique libanaise, la corruption est généralisée."
Le Hezbollah a distribué des dollars par valises de l'argent iranien, bien sûr. "Ce n'est pas un secret, indique le député du Hezbollah. Les autres partis touchent de l'argent arabe, ou d'ailleurs
… Il est ouvrier boulanger, se définit comme "prolétaire" et dort depuis le 1er décembre sous une des tentes qui bloquent le centre-ville en essayant de garder le pli de son pantalon. Ses modèles restent la Bolivie de Morales, le Venezuela de Chavez, Cuba, bien sûr, et l'austère Corée du Nord.
"Notre conviction idéologique, c'est qu'il faut fonder une République islamique, même en France, explique Hussein Hajj Hassan".
Monsieur Signora a produit son passeport " d'arabité" il a fustigé Israël à Paris, il a servit et sert sa politique il recevra son dû…! Il peut partir… en paix" Parole de Hezbollah…!
Triton,
Le 25-01-2007
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