B’Tsellem ne faites pas commerce des symboles et ne banalisez pas la Shoah.
Bet’sellem travaille à la construction d’un mythe et à un transfert d’identités… Une mise
en scène du « Passé juif » qui insulte la mémoire de la Shoah et ses rescapés encore
vivants !
Bet’sellem qui fait commerce… une sorte de brocantage des symboles de la Shoah…
Bet’sellem qui utilise la tragédie des enfants juifs lors de la shoah, qui ose comparer et mettre en parallèle, la conduite des parents quand on leur a ôté les enfants pour les envoyer dans les chambres à gaz et les enfants palestiniens que le Hamas utilise comme sacs de sable pour la protection des criminels du hamas.
Un mythe intelligible selon le système de représentations dans lequel il s’inscrit, il
représente une stimulation de l’antisémitisme et un symbole qui dépasse l’entendement
intellectuel avec un sens et des références qui théorisent une représentation mentale.
Une escroquerie vis à vis des Juifs et surtout vers les victimes déjà abusées par le Hamas…
« Ce qu'un signe ordinaire ne permet pas de dire, le symbole le permet. Le symbole traduit l'intraduisible, éclaire l'obscur. il a une fonction transformatrice », pour le psychisme. Selon la psychologie des profondeurs »
Un symbole contient une grande énergie que l'homme peut transformer, en l'amplifiant, en la sublimant, en la réorientant...
Le symbole est le terme visible d'une comparaison dont l'autre terme est invisible. la vision à laquelle on veut donner un sens particulier ou lui induire une croyance.
Il est le facteur et le véhicule qui agit sur une population traumatisée par les conséquences des actions du Hamas comme signe… la sémantique et la dimension antisémite… cette relation et son usage sont un scandale psychologique La notion de symbole fait jouer plusieurs critères, et une référence explicite ou implicite
un symbole qui établit des rapports extra-rationnels, imaginatifs, et apparaît ainsi comme la visible et l’invite à découvrir des « réalités » invisibles.
De Yossi Sarid du Meretz parti Ultra gauche israélien en passant par Al Haq à Chagnollaud en France antisioniste virulent et ayant comme donateur entre autres le Consulat de France à Jérusalem
Principaux fondateurs étaient Daphna Golan-Agnon (directeur académique et création d'un groupe féministe pour la paix Bat Shalom), David Zucker (membre de la Knesset pour le parti Ratz, l'un des fondateurs du mouvement La Paix Maintenant), Haim Oron (membre de la Knesset pour le parti Mapam , l'un des fondateurs du mouvement la Paix Maintenant), Zehava Gal-On (militant Ratz du parti et futur membre de la Knesset pour le parti Meretz formé par la fusion de Ratz et Mapam), Avigdor Feldman (libertés civiles avocat), et Edy Kaufman, un militant des libertés civiles), Amnon Kapeliouk.
Toute cette tradition qui plonge ses racines dans les croyances et les pratiques religieuses et c'est la raison fondamentale pour laquelle leur "geste" ne saurait être l'objet de changements arbitraires, cette guerre, entreprise par une ONG immorale.
Créée par des Ultra gauche areligieux avec pour nom une référence à la Bible… Le mot B’Tsellem (hébreu : בצלם) signifie « à l’image de » et provient du verset 1:27 de la Berechit Genèse : « Et Dieu a créé l’homme à [son] image. »
Bet’Sellem a une action néfaste sur la coexistence pacifique des deux communautés, son action est à comparer à celle du Hamas un brigandage et une escroquerie intellectuelle.
Aspects sacrés de cette Mort tragique sans évocation des souffrances de ceux qui sont morts, sans personnes qui restent, ni parents, ni frères, ni soeurs qui recherchent et racontent il ne reste plus, devant cet irréparable accompli, qu'à épeler le nom… Une méditation tragique.
A tout ceux, pour qui ce symbole représente un moment de communion et de souvenir pour tous ces enfants sans sépulture, adressez une protestation à Bet’sellem et faites circuler…
Si épeler des nom d’enfants morts sans sépulture les intéresse je communique (selon un rapport de l’ONU Assemblée Générale Avril 1947), le nombre, la déportation et l’execution avec la complicité par le chantage sur des executants SS allant jusqu’à leur
dénonciation aux autorités de Berlin par le Mufti de Jérusalem, les dirigeants des régions hésitaient à valider la déportation le 5 JUIN 1943 de
4000 enfants Bulgares
1800 enfants Roumains
900 enfants Hongrois
Le Mufti trouvait qu’après leur Alya en Israël les enfants devenant adulte,
constitueraient une menace pour les arabes.
B’Tsellem ne faites pas commerce des symboles et ne banalisez pas la Shoah.
http://tsophetriton.blogspot.co.il/2012/03/role-of-grand-mufti-in-world-war-ii.html
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