La politique dite autrement de la France et “En même temps” rien ne change.
La France a été partie prenante et a voté le texte appelant à protéger le patrimoine culturel palestinien à Jérusalem Est et le déni des liens historiques entre le peuple juif et Jérusalem…
La prise de position du Président Macron suite à la reconnaissance “regrettable”de Jérusalem comme capitale de l’Etat Juif n’est qu’une suite de la politique arabe de la France et celle “anti-sioniste” du Quai d’Orsay.
“C’est une décision regrettable, que la France n’approuve pas et qui contrevient au droit international et aux résolutions du Conseil de sécurité de l’Onu”, a déclaré le chef de l’Etat français lors d’une conférence de presse, à Alger.
“Le statut de Jérusalem est une question de sécurité internationale qui concerne toute la communauté internationale, le statut de Jérusalem devra être déterminé par les Israéliens et les Palestiniens dans le cadre de négociations sous l’égide des Nations unies”, a-t-il ajouté.
Ce qui n’empêche pas la France de reconnaître unilatéralement Jérusalem-est comme capitale de “l’Etat palestinien”…
Sous l’égide des “Nations unies” une “Hypocrisie” à la française…une tradition du “Quai d’Orsay”… Une politique vichyste qui fait aujourd’hui jonction avec celle de l’extrême gauche… en somme une entente “Nationale”.
Le vote des Nations unies, en novembre 1947, consterna Massignon. Ses fréquents articles dans des publications catholiques comme Témoignage Chrétien et L'Aube furent de plus en plus saturés de bigoterie et d'hystérie politique. Selon lui, la reconnaissance chrétienne ou musulmane d'Israël n'avait aucune valeur légale. "L'État-sans-Messie d'Israël" avait été créé aux dépens des Arabes, qui furent « victimes de la technologie répugnante des Yankees. » Obsédé par la Vierge Marie, Massignon insistait sur le fait que « le monde ne connaîtra jamais une paix juste tant qu'Israël [ c.-à-d., les Juifs] ne reviendra pas sur son rejet de la mère de Jésus. » Alors qu'il visitait l'État d'Israël, en février 1949, il eut le « coeur transpercé par l'ignominie des Juifs. »
Pour ce qui est du Moyen-Orient, le sionisme fut, plus que jamais, considéré comme un danger pour les diplomates français qui en étaient convaincus serait une relation sans heurt et équitable avec les pays arabes. Christian Pineau, le ministre des Affaires étrangères devait écrire franchement, dans son autobiographie, que la politique moyen-orientale du Quai d'Orsay était motivée par un antisémitisme « plus ou moins conscient. »
Le Quai d’Orsay prétend que le Croissant n’avait rien à voir avec la Croix Gammée et que le Nationalisme “arabe” n’est pas un combat religieux que mène l’Islam contre les Juifs…
L’Islam et le Nazisme étaient bel et bien complices, parties prenantes, ils furent fidèles dans leurs relations avec les nazis, bien après 1945… Un grand nombre des acteurs de la Solution Finale trouvèrent refuge dans la plupart des grands pays arabes !
Le mouvement national palestinien et pratiquement tous les mouvements nationaux du Maroc, d’Algérie et de Tunisie, d’Egypte, de Turquie, de Syrie du Liban, d’Irak et d’Iran… Les organisations musulmanes de France, d’Allemagne, de Suisse et d’Autriche étaient mobilisées et ont coopéré avec Goebbels et Eichmann de El Maadi à Nakkache en passant par Benouna et Pierre Gemayel… Partout des sentiments d’amitiés et d’admiration… La religion se mêlait à la politique ce qui fait dire à Himmler qu’en leur promettant le ciel, ils combattent les juifs avec courage !
Hadj Amin el-Husseini, le chef le plus puissant des Arabes de Palestine, un religieux populaire…a un dossier de longue date de complicité avec le terrorisme. Responsable des émeutes arabes en Palestine en 1920, il a fui la Transjordanie pour échapper à une peine de dix ans d'emprisonnement, et n’a décidé d’y retourner qu'une fois que l'amnistie complète lui soit accordée.
En 1922, il devient le mufti de Jérusalem et plus tard, le Président du Conseil suprême musulman.
Son service d'espionnage était étendu à l'ensemble du Moyen-Orient. Il avait un sous-bureau à Genève, le liant à l'Egypte et à la Turquie, et un autre à Istanbul, une ramification tout au long de la frontière syro-turque dans le détroit de Messine, Alexandrette, Antioche, Adana et Diarbékr. Ces stations ont reçu des informations directement des agents du Mufti de Palestine, de Syrie et d'Irak, et maintenu des contacts étroits avec les membres de l'Intelligence allemande en Turquie.
À Athènes, le mufti a établi un régiment parachutiste et une école de sabotage pour les Arabes.
Une autre des réalisations du Mufti a été l'organisation des unités militaires musulmanes. Il a recruté pour le commandement militaire allemand quelque 500.000 soldats venus du Maroc, la Tunisie et l'Algérie.
C'est l'ancien Grand Mufti qui a été responsable en grande partie du programme nazi d'extermination des juifs a également révélé Edgar Mowrer dans ses articles dans le NEW YORK POST en Juin 1946.
Les révélations de M. Mowrer basées sur des documents saisis, ont été confirmées par Bartley Crum au cours de ses investigations en tant que membre du Comité anglo-américain, après examen des archives du Tribunal des Alliés et les enquêtes sur les crimes guerre,
Le Mufti dit Wisliczeny a milité pour une solution confortable pour le problème de la Palestine». Et les dossiers nazis montrent qu’accompagné d'Eichmann, le Grand Mufti, incognito, a visité les chambres à gaz d'Auschwitz, où des centaines de milliers de Juifs ont été exterminés. Hitler avait donné des instructions que dans toutes négociations ou rançonnement des détenus des camps de concentration, les Juifs devaient être exclus parce un accord avait été conclu avec le Mufti promettant l’extermination de tous les Juifs. J'ai aussi appris que l'accord entre Hitler et le mufti inclus les relégations des Ibn Saoud à des rôles d'importance secondaire en faisant du Mufti le chef suprême de l'islam.
«Des documents prouvent cette prise de position… Une grande correspondance du Mufti s’établie avec le ministre des Affaires étrangères, Von Ribbentrop, s’étonnant de la clémence allemande envers les Juifs.;
"` Votre Excellence, j'ai déjà appelé l'attention de Votre Excellence pour les tentatives constantes des Juifs d'émigrer de l'Europe afin d'atteindre la Palestine, et j’ai demandé à Votre Excellence de prendre les mesures nécessaires afin d'empêcher les Juifs d'émigrer ».
"Le 27 Juillet 1944, le Mufti a écrit à Heinrich Himmler déclarant Von Ribbentrop et Himmler trop indulgents envers les Juifs, qu'il avait protesté auprès deux le 5 Juillet 1944, que certains juifs avaient dérogé aux instructions de l'Allemagne. Si de telles pratiques continuent", a écrit le Mufti, elles seront certainement « incompréhensibles » pour les Arabes et les Musulmans et provoqueront un sentiment de déception», et il a averti que de telles pratiques pourraient aussi encourager les Etats des Balkans à permettre aux juifs l’émigration.
Edgar Mowrer a produit les pièces justificatives suivantes de la complicité du Mufti dans l'extermination des Juifs d'Europe:
On peut être épouvanté par les distorsions historiques de l’Autorité Palestinienne concernant le Peuple Juif et ses liens avec la Palestine… Et sûrement ne pas se taire sur les actions des Arabes et des Musulmans, une majorité des Palestiniens d’aujourd’hui et le plus grand leader religieux Hadj amine Al Husseini, sur le soutien sans équivoque, sur la participation active à l’élaboration du programme qui leur est commun la lutte pour la réalisation de la solution finale et l’annihilation du peuple juif.
Le procès de Nuremberg n’a pas changé la situation, la haine et le racisme antijuif anime encore aujourd’hui les représentants du monde arabe !
Recruté par les fascistes italiens du temps de l’axe et recyclé par Leïla Chahid et son patron Yasser Arafat Jean Genet l’antisémite bien connu a fait les beaux jours des relations de l’extrême Gauche française et européenne… Genoux sinistre financier comme argentier et une armada d’anciens bourreaux nazis et officiers SS recyclés au service des Palestiniens, des Etats musulmans et de la République Arabe Unie. !
Ce petit concentré met en lumière les tendances du Quai d’Orsay qui concluait rapidement que le sionisme faisait face « à des obstacles insurmontables » et que la Palestine n'était pas le bon endroit pour un État juif.
Les sionistes avec lesquels les diplomates français sont en contact sont vilipendés, ou traités avec condescendance, dans divers documents.
Les représentants officiels français au Caire et à Beyrouth, à Damas et à Amman, insistaient de plus en plus instamment sur le fait que tout soutien au sionisme ou à l'État d'Israël entraînerait une aggravation du nationalisme arabe, D'autres, dans le département, fondaient leur argumentation sur la prétendue nécessité de protéger la présence culturelle et religieuse de la France en Terre Sainte…
Que ces sujets devaient être traités de manière à éviter tout ce qui pourrait apparaître comme une défaite des Arabes.
“René Neuville fut consul général à Jérusalem, son incapacité à accepter l'idée d'un État juif constitue un cas d'école de la formation de la politique au sein du Quai d'Orsay.
“Les Juifs, écrivait Neuville dans une longue dépêche en date du 12 avril 1947, sont « racistes jusqu'au bout des ongles [...] tout autant que leurs persécuteurs allemands et malgré leurs prétentions démocratiques. » Depuis l'époque biblique, ils se sont efforcés de s'imprégner de l'idée qu'ils sont un peuple choisi de Dieu, et cela a nourri une xénophobie et un fanatisme qui ne peuvent pas être attribués au seul sentiment national. La presse sioniste, ajoute-t-il plus loin, « présente, sans le moindre doute possible, les traits héréditaires d'une mentalité totalement orientale. » En aucun cas, les Juifs ne devraient être autorisés à exercer quelque contrôle que ce soit sur les lieux saints, et la souveraineté nationale devrait leur être refusée.
Triton
Paris Jeudi 7 décembre 2017
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